Les
« Frères Musulmans » ont constamment œuvré à la destruction des
Républiques musulmanes, pour l’abolition des frontières des nations
musulmanes, afin d’établir des Califats sous l’autorité d’un Grand
Calife soumis à l’Occident !
Les Frères Musulmans sont une création, une stratégie de l’Occident
en particulier du Royaume-Uni. Il s’agit d’une secte se réclamant de
l’Islam, à l’instar des salafistes, des takfiristes, et d’autres groupes
islamistes, dont la matrice est l’Organisation des Frères Musulmans.
Leur création surgit après la chute du Califat islamique en Turquie, en
1924, dont le dernier calife a été exilé à Paris. Leur mission consiste à
restaurer le Califat féodal afin de soumettre les nations musulmanes
riches au diktat du grand capital occidental.
Aujourd’hui, toutes ces républiques combattent les Frères Musulmans.
Leurs leaders sont réfugiés (et protégés) en Occident notamment au
Royaume-Uni, aux États-Unis, en France et en Suisse.
Les deux royaumes arabes musulmans alliés, qui jouent le rôle de
mandataires pour la réhabilitation de ce type de gouvernance archaïque,
sont le Qatar et les Émirats Arabes Unis !
Instaurer des Califats en lieu et place des républiques dans les
contrées musulmanes riches est la meilleure formule que les
propagandistes islamistes agitent comme un attribut fondamental de
l’Islam pour mieux le faire accepter par la majorité ignorante afin de
les dominer. Tout autre modèle, selon eux, n’est que dystopie,
antinomique avec les préceptes de l’Islam ! Le Qatar et les Émirats
arabes unis sont bien les proxys arabes les plus fidèles aux
anglo-saxons pour mettre à exécution cette stratégie.
Leur surenchère sur la Palestine n’est qu’une illusion qui ne dupe que les crédules.
Les Frères Musulmans - depuis leur création en Égypte en 1928 par
Hassan el-Banna (juste après l’abolition du califat en mars 1924, sur
proposition de Mustafa Kemal) – ont toujours poignardé dans le dos les
nationalistes et les patriotes, les républiques arabes ou musulmanes qui
ont combattu le colonialisme ; à commencer par le président Nasser.
Un retour au Califat qui arrangeait les colonialistes de tout bord !
Ils ont trahi l’Égypte, la Syrie, l’Iran en osant même insulter les
Perses, vendu le Hezbollah qui se bat contre Israël pour quelques
dollars des roitelets. Ils ont agressé lâchement, en 1992, l’armée
algérienne qui a pourtant participé à deux guerres aux côtés des arabes
contre Israël.
Lorsqu’ils ont pris les armes contre l’Algérie (soutenus par certains
régimes arabes et la France de Mitterrand), l’Armée Nationale
Populaire – avec l’aide des groupes civils de légitime défense (GLD)
(dans les villages et hameaux) – les ont exterminés et leurs chefs ont
fuient au Qatar, en Suisse, au Royaume Uni, au EU et en France !
Les Frères Musulmans, aujourd’hui bannis dans toutes les Républiques
musulmanes (dont l’Iran, excepté en Turquie), sont en voie d’extinction.
Tentative de "réactivation" des Frères musulmans
On s’efforce actuellement de les réactiver en Europe avec l’aide des
Émirats Arabe Unis et du Qatar, dans le but de les déployer en Afrique
musulmane, qui est devenue frondeuse et trop souverainiste.
La France sioniste, frustrée et humiliée, s’agite ces derniers temps avec sa Nouvelle Stratégie en Afrique
pour tenter de les ressusciter, suite à sa rupture avec l’Afrique
sahélienne qui les a expulsées, et l’Algérie souveraine qu’elle veut
assujettir, mais qui lui fait un bras d’honneur !
La France a toujours soutenu les terroristes en Afrique et en Syrie.
Rien d’étonnant ! En recevant officiellement à l’Élysée El Joulani en
chef d’État désignée, un terroriste issu des Frère Musulmans, la France
de Macron, de Barrot et de Retailleau confirme officiellement ses liens
avec les terroristes islamistes qu’elle aide politiquement et
financièrement, depuis toujours, pour ses besoins.
Rappelons que cette France impénitente a bien participé à
l’assassinat de Kadhafi, le chef d’État ! Elle s’est immiscée dans les
événements qui se déroulent au Mali, au Niger et au Burkina Faso ! Elle a
joué un rôle néfaste dans le drame du Rwanda ! Elle a été active dans
l’affaire de l’Arche de Zoé où elle a fait libérer, par des pressions
sur le Tchad, des trafiquants d’enfants ! Sans oublier l’affaire dite
des « infirmières bulgares »... et le paiement des rançons à des
terroristes ! En Syrie, Laurent Fabius avait bien dit que Bachar
« méritait de mourir » et qu’Al Nosra faisait du « bon boulot ». Elle
livrait des armes au même chef de Daech quelle reçoit pour faire couler
le sang en Syrie et combattre Bachar, pour les intérêts d’Israël et des
EU avec la complicité des roitelets du Golfe.
En Algérie, elle a soutenu les terroristes des Groupes Islamiques
Armée (GIA) issus de Front islamique du Salut d’obédience Frères
Musulmans, durant 10 ans, du temps de François Mitterrand. Elle a abrité
les chefs terroristes après leur déroute. Elle a enfin, récemment,
tenté sans succès d’organiser des attentats terroristes en Algérie, en
manipulant un ex terroriste algérien ayant combattu en Syrie. Une œuvre
de la DGSE avec la complicité de son ambassade à Alger ! Oui un complot
terroriste de la DGSE prise dans le traquenard du contre-espionnage
algérien (1).
Un rapport (2) sur l’état des lieux de la présence en France des Frères
musulmans afin d’évaluer les effets de la loi du 21 août 2021
« confortant les principes de la République » ? Arrêtez votre mascarade,
votre hypocrisie et vos diversions !
Corina Machado, encore un prix Nobel de la guerre.
Obama avait ouvert le cycle des Nobel de guerre. Durant sa présidence US, il signait tous les mardis la liste de gens à faire tuer par des drones. Il ne pouvait pas perdre la main même pour une semaine.
La paix c'est la guerre, le prix Nobel de la paix c'est la guerre au Venezuela.
Le prix Nobel de la paix sert aussi pour légitimer le génocide à Gaza :
Cuando alguien dice que “Osama bin Laden fue creación de
la CIA”, los medios occidentales responden: “eso es teoría
conspirativa”. Pero los documentos desclasificados, informes del
Congreso de EE.UU. y publicaciones de medios occidentales como The
Washington Post, The Guardian y BBC cuentan otra historia: el terrorismo
internacional no nació en una cueva de Afganistán, nació en
laboratorios de la geopolítica estadounidense.
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Operación “Ciclón”: el origen del monstruo:
En
1979 la CIA inició la Operación Cyclone, el mayor programa secreto de
financiación clandestina de la historia. Su objetivo: usar guerrillas
islamistas para destruir la influencia soviética en Afganistán.
Presupuesto oficial: 6.000 millones de dólares (Informe del Congreso, 1990)
Socios: Pakistán (ISI) y Arabia Saudí:
Método: financiar, armar y entrenar yihadistas para convertir Afganistán en “el Vietnam de la URSS”.
Este programa no lo niega ni la CIA. Está publicado en los Archivos de Seguridad Nacional de EE.UU..
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¿Dónde entra Bin Laden en esta historia?
Osama
bin Laden no salió de la nada. Era parte de los llamados “árabes
afganos”, combatientes extranjeros reclutados con ayuda de Maktab
al-Khidamat (MAK), la red internacional de yihad financiada con dinero
saudí, paquistaní y recursos de inteligencia occidentales.
Esto
no lo dice Moscú, lo dice The Guardian (2004): “Los fondos de la
operación llegaban a los combatientes árabes a través de Pakistán y eran
supervisados por la CIA.”
Bin
Laden construyó su primera red yihadista gracias a esta infraestructura
creada por Washington y sus aliados. Sin Operación Cyclone, no habría
existido ni Al Qaeda ni Bin Laden.
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¿Entrenó la CIA a yihadistas? Sí.
Documentos
del U.S. National Security Archive prueban que la CIA entregó manuales
de guerra de guerrillas, explosivos y sabotaje a los muyahidines
afganos.
BBC (2004) informó: “La CIA auspició
campos de entrenamiento en Pakistán donde combatientes árabes, entre
ellos seguidores de Osama bin Laden, recibieron instrucción militar.”
Pakistán ISI: logística + campos de entrenamiento.
Resultado: una red internacional de extremismo islámico usada como arma geopolítica.
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Y después… “se volvió enemigo”
Cuando la URSS cayó, Bin Laden ya no era necesario. EE.UU. aplicó el manual habitual:
1. Crean al monstruo.
2. Lo alimentan.
3. Lo usan contra sus enemigos.
4. Después lo llaman “amenaza global”
Exactamente lo que pasó con Saddam Hussein, Noriega, Escobar… y luego Bin Laden.
Incluso Hillary Clinton lo reconoció públicamente en 2010:
> “Financiamos la yihad antisoviética. Y luego, claro, todo eso se nos volvió en contra.”
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Después llegó Al Qaeda.
En
1988, con la infraestructura creada gracias a la guerra financiada por
la CIA, Bin Laden funda Al Qaeda. La CIA lo sabía. The Washington Post
(2002) escribió:
> “Los servicios estadounidenses toleraron a Bin Laden mientras operaba contra Moscú.”
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¿Te suena esta estrategia?
EE.UU.
siempre usa el mismo método: | Guerra fría | Afganistán | Bin Laden | |
Guerra híbrida | Irak | ISIS | | Guerra proxy | Ucrania | batallones
neonazis como Azov y Aidar |
Financian
monstruos para destruir adversarios y luego fingen luchar contra el
mismo monstruo que ellos mismos crearon. Es su modelo de negocio
geopolítico.
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Advertencia para hoy.
Lo mismo que hicieron con Al Qaeda en los 80, lo repitieron con ISIS en Siria e Irak y hoy lo repiten en Ucrania, usando:
ideologías radicales;
fanatismo armado;
lavado mediático;
odio étnico;
terrorismo político patrocinado.
La fábrica del extremismo no está en Kabul ni en Raqqa. Está en Washington y Londres.
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Conclusión:
Osama
bin Laden no fue una sorpresa histórica. Fue un proyecto geopolítico.
Un arma creada para destruir a un enemigo y luego usada como excusa para
dominar el mundo bajo la máscara de la "guerra contra el terror".
On
nous annonce la diffusion sur Arte, le mardi 5 mars 2024, d’un
documentaire d’1 h 30, déjà visible sur Youtube, intitulé « le Tibet
face à la Chine, le dernier souffle ? », réalisé par François Reinhardt (1),
qui ne cache même pas son intention de refléter le point de vue
revanchard des exilés tibétains, sans la moindre considération pour les 6
millions de Tibétains restés au Tibet qui voient leurs conditions de
vie s’améliorer d’année en année.
Pourquoi cette diffusion en mars 2024 ?
Le 27 septembre 2023, en préouverture du Festival des Écrans de Chine à
Paris, le réalisateur Jean-Michel Carré, auteur d’une quarantaine de
films et couronné par une vingtaine de prix (dont Cannes, Berlin, ainsi
qu’une nomination aux Emmy Awards), y projetait son dernier opus :
« Tibet, un autre regard », fruit de nombreux contacts sur le terrain et
d’une impressionnante collection d’archives. (2)
La RTBF avait programmé pour le 11 novembre 2023 la diffusion de ce
documentaire (en version raccourcie). Mais cette diffusion n’a jamais eu
lieu. Arte non plus n’a jamais diffusé le documentaire. Pourquoi
ce silence ? Comment expliquer la déprogrammation de la RTBF et la
non-diffusion d’Arte ? Seule explication possible : des pressions
auxquelles Arte, et par ricochet la RTBF, n’ont pas eu le cran de
résister.
Jean-Michel Carré s’était déjà plaint de pressions subies en cours de
réalisation de son film. Il faut écouter – ça ne dure que 3 min 49
l’interview qu’il a donnée à CGTN France le 01/03/2022 : https://www.facebook.com/watch/?v=481348356802595.
Tant bien que mal, il a quand même réussi à ficeler son projet et à y
intégrer tous les aspects importants de la « Question tibétaine », des
réalités mal connues des Occidentaux biberonnés aux mantras de la
tendance « Free Tibet ». Mais
la simple présentation de certaines vérités historiques et de
constatations sur le Tibet actuel a suffi à faire écumer de rage
certain(e)s adeptes inconditionnel(le)s du dalaï-lama et de son
entourage. Ainsi, après la projection du film à Paris, a-t-on entendu la
sinologue Marie Holzman (arrivée en retard) accuser violemment le film
d’être: « partial », « prochinois », « antiaméricain », de « ne pas
donner la parole aux Tibétains » et de « ridiculiser le dalaï-lama »,
toutes accusations fausses auxquelles Jean-Michel Carré n’a eu aucune
peine à répondre calmement.
Arte soumise aux vents dominants
Mais ce réquisitoire
de Marie Holzman et consorts a dû faire mouche sur la rédaction d’Arte,
toujours prête à prêter une oreille attentive aux contempteurs de la
Chine et aux adorateurs du dalaï-lama. (3)
LaDepeche.fr
Tout nous porte à
croire – qu’on nous prouve le contraire ! – qu’Arte, dont le Conseil de
surveillance est dirigé par un certain Bernard Henri-Lévy, s’est
complaisamment inclinée devant les pressions des ennemi(e)s de la
République populaire de Chine, obtenant ainsi le remplacement du
documentaire exemplaire de Jean-Michel Carré « Tibet, un autre regard »
par un ersatz partial, signé François Reinhardt « Le Tibet face à la
Chine, le dernier souffle ? ».
Des sources clairement partisanes
Notre intime
conviction se base notamment sur la personnalité de celles et ceux
auxquel(le)s Reinhardt adresse ses remerciements dans le générique de
fin de son « documentaire » :
- Katia Buffetrille, co-autrice de Le Tibet est-il chinois ?,
un ouvrage, prétendument scientifique, mais en réalité partisan,
regorgeant d’omissions, de distorsions et d’interprétations
abusives (4) ; elle est aussi co-autrice d’un article publié dans Libération,
faisant preuve de révisionnisme, voire de négationnisme, à propos des
liens entre les dignitaires tibétains amis du dalaï-lama et les
explorateurs nazis au Tibet (5)
-
Robert Barnett, un des fondateurs et ancien dirigeant du TIN (Tibet
Information Network), qui a été longtemps financé par le NED (National
Endowment for Democracy), branche civile de la CIA ;
- Jean-Pierre (?) Donnet, auteur de Tibet mort ou vif,
un grand classique, vieux de trente ans, de la littérature de
propagande « pro-tibétaine », qui a connu plusieurs rééditions et qui
est toujours brandi par les adeptes d’un « Tibet libre » malgré ses
partis-pris et ses indigences patentes (6) ; à noter ici un indice
supplémentaire de la désinvolture des auteurs du « reportage », qui
attribuent à Donnet un prénom qui n’est pas le sien : en fait, il s’agit
de Pierre-Antoine Donnet ;
-
Vincent Metten directeur des politiques européennes pour l’ICT
(International Campaign for Tibet), en Belgique. Rappelons que l’ICT est
une ONG enregistrée auprès du département de la Justice des États-Unis
et possédant des bureaux à Washington, Amsterdam, Bruxelles et Berlin ;
elle est financée par des dons privés et par … le NED ; Vincent Metten
est un porte-parole, parmi d’autres, du Congrès des États-Unis (7) ;
- Mélanie Blondelle, chargée de politiques et de plaidoyer au sein de cette même ICT ;
- Marie Holzman, la passionaria antichinoise qui a témoigné publiquement son dévouement au culte du dalaï-lama.
«…La defensa de la democracia, de la libertad, de la propiedad privada y la familia, implica una guerra permanente total. Esto es bien sabido, por sobre todos los eufemismos de la política concreta. Las formas de esa guerra cambian de acuerdo a cada etapa e incluso a cada momento de una etapa, y de acuerdo a cada zona del mundo.
Al énfasis en lo militar sucede el énfasis en lo político o lo
propagandístico para luego volver al énfasis en o militar-definitorio.
Lo importante es comprender que esta guerra continuará hasta la
destrucción total del adversario como tal (lo cual no necesariamente es
sinónimo de destrucción física),
puesto que se trata de la guerra de la verdad. La verdad no puede
coexistir con el error, tiene que destruirlo, ya que su propia
existencia como tal verdad significa la negación rotunda del error. En
la larga vida del occidente negación rotunda del error. En la larga vida
del occidente cristiano hemos
llegado a una etapa en que democracia y libertad se funden en un modo
de vida a defender e imponer. Su expresión más perfecta, aún en
desarrollo, es el modo de vida norteamericano.
La consolidación del comunismo como potencia mundial en Rusia, China y
otros países no cambia ese propósito, pero sí, y muy profundamente, el ritmo de la guerra total y sus énfasis sucesivos. Y, asimismo, su duración en el tiempo. En el fondo es el precio a pagar por los arraigados sentimientos humanistas de nuestra sociedad,
que impidieron usar el arma atómica contra el mundo comunista en la
oportunidad en que éramos los únicos en el planeta que la teníamos.
Mientras
quede en actividad un elemento insurgente comunista es imposible
aceptar que hemos culminado con éxito la campaña contrainsurgente. Los
objetivos de ésta son totales.
La
ceguera de los civiles en lo que concierne al fenómeno militar moderno,
incluidas sus múltiples ramificaciones que lo hacen integral, es
también un elemento favorable para el desarrollo y la amplificación de
las políticas de pacificación. Son aspectos de la sociedad moderna o en
trance de modernización que sorprenderían a investigadores y teóricos
tan taxativos como el propio Lenin.
Después
de la guerra de Vietnam debemos enfrentarnos a una realidad innegable.
Debemos aprender a avaluar la guerra local desde el punto de vista de su
función como elemento global pedagógico-revolucionario. El impacto
psico-ideológico que implica la participación real y prolongada de
sectores decisivos del pueblo en las operaciones militares de guerra,
modifica su calidad de receptor ideológico, su calidad de objetivo o
blanco de la guerra psicológica.
Hay
una teoría de la lucha, un arte operativo, una mística y una tradición
que hacen que detrás de cada guerrillero vietnamita o guatemalteco, que
detrás de cada estudiante combatiente uruguayo o brasileño, que detrás
de cada insurgente angolano, estén presentes, en una u otra medida,
Lenin, Mao Tse-tung, el Che Guevara, en tanto pensadores, en
tanto creadores de métodos racionales para actuar en la lucha de clases.
Los niveles de cultura política, de madurez en la concepción con cada
uno de esos elementos acuden a contactar el pensamiento revolucionario,
no deben crear falsas esperanzas. Una constante revisión de las
fuentes clásicas es obligatoria para determinar, en cada coyuntura, los
grados de avance o retroceso enemigos.»
Materiales textuales de la prensa militar norteamericana, 1973.
Molly Blackall , corresponsal de asuntos globales de iNews
Los ataques a instalaciones nucleares y sus alrededores se han
normalizado cada vez más durante la guerra en Ucrania y las
consecuencias podrían ser desastrosas, advirtieron los observadores
militares.
Rusia acusó a Ucrania de lanzar un ataque con drones que dañó la
planta de energía nuclear de Kursk, ubicada a unas 37 millas de la
frontera con Ucrania.
Las autoridades de la central eléctrica indicaron que las defensas
aéreas derribaron un dron que detonó cerca poco después de la
medianoche.
El incidente dañó un transformador auxiliar y provocó que la capacidad de la planta cayera en un 50 por ciento, dijeron.
El incidente ocurrió el día en que Ucrania conmemoraba el 34º aniversario de su independencia de la Unión Soviética.
Ucrania no ha hecho comentarios sobre el incidente, pero una fuente
militar ucraniana dijo a The i Paper que se había ordenado a las
tropas no atacar la planta durante operaciones anteriores cercanas.
Otra fuente indicó que podría haber sido accidental, diciendo que los
pilotos de drones trabajan siete días a la semana y que a veces surgen
resultados inesperados.
Desde hace tiempo se teme que se produzca un incidente nuclear como
consecuencia de la invasión rusa , y los combates tienen lugar cerca de
dos importantes plantas: Kursk y Zaporizhia, en Ucrania, que es la
mayor planta nuclear de Europa.
El Organismo Internacional de Energía Atómica, el organismo de
control nuclear de la ONU, informó que la radiación se encontraba en
niveles normales alrededor de la planta de Kursk después del ataque.
Los actos que antes eran impactantes ahora son normales
Los expertos militares dijeron que los combates dentro y alrededor de
las plantas nucleares se estaban normalizando cada vez más.
La doctora Marina Miron, experta en estudios de guerra del King’s
College de Londres, dijo que los ataques a las plantas nucleares
"podrían llegar a normalizarse de algún modo, lo que en sí mismo es
desconcertante".
Cuando ocurre la primera vez, todo el mundo queda impactado y se ven
todos los titulares. Luego, el OIEA informa que no hubo aumento en los
niveles de radiación y luego la situación se calma y, tras una enésima
vez, esto se normaliza.
Las plantas se han convertido en peones importantes en la guerra.
"Cuando Ucrania contrainvadió Rusia el año pasado, la idea era tomar
la central eléctrica de Kursk y probablemente intercambiarla por la
central eléctrica de Zaporizhia, para luego poder decir: te la
intercambiamos; danos esa y te devolveremos la tuya", dijo Miron.
Darya Dolzikova, experta nuclear del Royal United Services Institute
(RUSI) de Londres, advirtió anteriormente que la actividad militar en
torno a los sitios nucleares “no debería normalizarse”, pero que tales
ataques podrían volverse más comunes.
“El crecimiento esperado de la importancia de la energía nuclear en
la combinación energética mundial en las próximas décadas puede aumentar
la probabilidad de que en el futuro los conflictos armados se vean más
afectados por la infraestructura de energía nuclear”, dijo.
Además de causar daños infraestructurales a un adversario o enviar
fuertes señales militares, la “prominencia psicológica” de los sitios
nucleares significa que pueden ser utilizados con “fines de escalada,
disuasorios o coercitivos”.
También puede ser una táctica deliberada liberar material radiactivo
para convertir una zona en una zona prohibida, pero podría expandirse
inadvertidamente a áreas “amigas” o intensificar el conflicto si se
filtra a un tercer país.
Los ataques a instalaciones nucleares aumentan el riesgo de accidente radiológico
Lukasz Kulesa, director de política nuclear de RUSI, dijo que si bien la
mayoría de los reactores nucleares estaban relativamente "bien
protegidos contra ataques y accidentes gracias a sus estructuras
reforzadas, este no siempre es el caso".
“Algunos reactores en Rusia, incluida la central nuclear de Kursk,
carecen de esa cúpula protectora de hormigón, lo que los hace más
vulnerables y peligrosos en caso de ataque”, explicó.
“Los ataques de artillería o drones y otras actividades militares
también pueden amenazar al personal y al personal que trabaja en el
sitio, y dañar o destruir la infraestructura de apoyo crucial para el
funcionamiento de la central eléctrica, como el suministro de agua y las
conexiones a la red eléctrica y los generadores, o los sitios de
almacenamiento de combustible nuclear gastado.
“Todos estos ataques perturban el funcionamiento de las centrales
nucleares y aumentan el peligro, y los más graves pueden suponer una
amenaza directa de incidente radiológico”.
Kulesa advirtió que “el hecho de que los incidentes anteriores
relacionados con la seguridad nuclear de la central eléctrica de
Zaporizhia no hubieran provocado un accidente nuclear no debería ser
motivo de complacencia”.
“Persiste el peligro de que las normas internacionales relativas a la
prohibición de ataques militares contra centrales nucleares y los
esfuerzos del OIEA por aclarar y fortalecer las normas de seguridad
nuclear durante los conflictos armados se ignoren en otros conflictos.”
Sin embargo, Bollfrass dijo que era “poco probable que estos ataques provoquen el próximo Chernóbil”.
“Los daños más graves han afectado a las propias instalaciones y a su
capacidad de suministrar electricidad, así como a la integridad de la
red energética de Ucrania en su conjunto”, afirmó.
Algo como que un misil impacte combustible gastado almacenado o un
reactor en funcionamiento crearía un grave riesgo radiológico, pero
ninguna de las partes ha mostrado interés en hacerlo. La mayoría de los
impactos en o cerca de centrales nucleares han sido causados por
drones con ojivas mucho menos potentes.
Le sang des martyrs n’a pas séché, et le deuil des proches pas
encore fait, que les langues commencent déjà à se délier concernant les
acteurs et les complices masqué du terrible génocide de Gaza.
Selon des documents militaires américains divulgués et obtenus par le
Washington Post et l’ICIJ, plusieurs régimes arabes ont intensifié leur
coopération militaire avec l’armée d’occupation israélienne au plus
fort du génocide de Gaza — tout en condamnant publiquement les
massacres.
Las élites europeas se preocupan cada vez menos de disimular los
golpes a la democracia neoliberal que ellas mismas tuvieron que inventar
para el capitalismo degenerativo del alba del siglo XXI, degradando al
máximo la “democracia keynesiana” de la Postguerra Mundial a la que se
vieron forzadas mientras existía la URSS.
En Rumanía declararon la nulidad de unas elecciones cuyos resultados
no les fueron favorables (tras que el candidato independiente Calin
Georgescu ganara la primera ronda en diciembre de 2024 y todavía después
de que el “euroescéptico” George Simion dominara la primera vuelta de
las elecciones de mayo, el fraude avalado por la UE otorgó al favorito
de Bruselas, Nicușor Dan, un milagroso aumento del 155 % en la segunda
ronda). En Georgia provocan intermitentes levantamientos mediante
cuerpos de inteligencia y paramilitares infiltrados, ante la frustración
de no haber logrado cambiar hasta ahora el resultado electoral. En ese
camino, llevan años asediando a otros presidentes europeos electos cuyas
posturas en favor de la distensión con Rusia no les gusta. Así por
ejemplo, Fico en Eslovaquia (atentado casi mortal por medio), Orbán en
Hungría y Vučić en Serbia, con continua agitación de las calles contra
ellos y procedimientos típicos de sus “revoluciones de colores” o golpes
de Estado orquestados.
Ahora Moldavia, que hace tiempo que es vista como una pieza clave
para el asedio a Rusia, ha pasado por un proceso electoral amañado desde
el principio para hacer como que no ha ganado la opción de la paz y el
no enfrentamiento al gigante euroasiático. Aquí se ha hecho de todo,
toda clase de trampas y perversiones electorales: prohibición de entrada
de observadores nacionales a los colegios electorales, presencia en
cambio de un par de comisiones “técnicas” de enviados de la UE para
“evitar las interferencias rusas” -¡qué descaro!-; urnas llenas nada más
abrirse las puertas de los colegios electorales (se llegaron a difundir
videos de miembros de la comisión electoral estampando papeletas
mientras cantaban “PAS, PAS, PAS” – el Partido de Acción y Solidaridad
gobernante, al que la UE sostiene en todos los aspectos-); prohibición
de dos partidos de la oposición 24 horas antes de la votación;
utilización de la enorme diáspora moldava para fabricar papeletas en
favor del PAS de Maia Sandu, con ciudadanos conducidos en autobuses
turísticos a los centros de votación desde Sofía (Bulgaria) y Brașov
(Rumanía), o Austria (en Klagenfurt am Wörthersee); supervisión
independiente silenciada; negación de la acreditación a los observadores
en Francia y España bajo pretextos inverosímiles; en Târgu Mureș
(Rumanía) no se permitió la entrada de los observadores al centro,
mientras que a la emigración moldava en Rusia prácticamente no se la
dejó votar (dos colegios electorales con restricciones para un país de
la inmensidad de Rusia); se registraron, además, numerosas denuncias de
compra de votos: 50 € por un voto emitido a favor del PAS, más 20 € por
cada votante adicional llevado a las urnas; en Italia se observó a las
mismas personas votando varias veces; a un ciudadano moldavo se le negó
su derecho a votar en Valencia por llevar una camiseta amarilla con una
cruz, considerada por las autoridades como ‘propaganda anti-Sandu’; la
CEC de Moldavia cerró cuatro estaciones de votación más en la región
autónoma de Transnistria a sólo unos días de las elecciones; sabotaje y
tácticas de intimidación; centros de votación registraron falsas alarmas
de bomba y fallos técnicos… En fin, nada que se parezca a unas
“elecciones libres” desde la óptica del propio capitalismo neoliberal.
Como digo, ya ni se molestan en disimular procesos de votación que
cumplan mínimamente con los procedimientos elementales de “libertad” y
“trasparencia”. El que la oposición no reconozca los resultados es
motivo de más risa todavía para las élites otanistas.
Por cierto, un mapa significativo de una encuesta de Statista,
muestra lo contrario de lo que esos golpes o intentos de golpes
pretenden convencernos sobre la “opinión pública” del este de Europa:
De hecho, en realidad la clase capitalista y sus gestores sólo han
promovido o respetado la “democracia liberal” cuando saben que la
población ya está lo suficientemente entontecida (alienada, en términos
clásicos) o impedida de alternativas como para no votar a alguna de las
opciones que la fabrican dentro del marco de lo dado. La guerra sucia
contra los partidos comunistas europeos tras la Segunda Guerra Mundial,
mediante la Red Gladio entre otros instrumentos, buscaban dejar sin
alternativas reales a la población. Hoy -y una vez incorporados al
Sistema los PCs- es la OTAN, sin tapujos ni “subcontratas” más o menos
clandestinas, la que se encarga directamente de eliminar esas posibles
alternativas (la incluiré abajo entre paréntesis por ser un mero brazo
armado de USA y el Poder Sionista Mundial -PSM-, los cuales a su vez
están íntimamente entrelazados -más allá de procedencias étnicas o
religiosas- y controlan los grandes grupos económicos -y por tanto de
poder- del mundo, como Black Rock, según explico en Microsoft Word – UNA APROXIMACIÓN A LAS CLAVES DEL PODER SIONISTA MUNDIAL-).
En Europa, USA-PSM-(OTAN) [la cabeza hoy del securlar Imperio
Occidental] han tratado de ir colocando los peones más predispuestos
para su Guerra Total en los lugares y puestos clave. Indico una lista
nada exhaustiva de agentes políticos impuestos y su filiación de
servidumbre más directa a grupo de poder:
Emmanuelle Macron (Rothschild)
(Ocupó la presidencia francesa tras el golpe a François Fillon, al
que se daba como más probable ganador de las elecciones presidenciales
de 2017. Al final de la campaña Fillon dijo que Francia no debía seguir
con la guerra sucia contra Siria. Esa misma semana se lanzó una supuesta
contratación indebida de su esposa, y se catapultó a un personaje
totalmente desconocido e insignificante como Macron quien,
“lógicamente”, ganó las elecciones. Sus políticas guerreristas y de
seguimiento vasallo de EE.UU. son un hito a la contra de lo que fue la
política exterior relativamente independiente de Francia).
Keir Starmer (Black Rock)
(El CEO de este Fondo buitre, Larry Fink, ha expresado en repetidas
ocasiones su apoyo a Starmer, calificando su liderazgo como una “medida
de esperanza” para la política británica. Sobran, pues, más
comentarios).
Rachel Reeves (Black Rock):
(Ministra de Economía en el gobierno de Keir Starmer. Mantiene
reuniones estratégicas con Larry Fink para “atraer inversión al Reino
Unido”).
Friedrich Merz (Black Rock)
(Trabajó directamente para BlackRock como presidente de su filial
alemana. Es uno de los grandes propagandistas de la guerra y del
sionismo).
Giorgia Meloni (Black Rock)
(Su gobierno aprobó que BlackRock adquiriera más del 3% de Leonardo, el gigante italiano de armamento).
Michel Barnier (Rothschild)
(Ex comisario europeo y negociador del Brexit. Asesor de empresas vinculadas al ecosistema Rothschild).
Alexander Stubb (Rothschild y Club Bilderberg)
(Ex primer ministro y actual presidente finlandés. Ha participado en
reuniones del Club Bilderberg, donde Rothschild es uno de los actores
financieros clave. Stubb no para de incitar a la agresión contra Rusia).
Christine Lagarde (Rothschild)
(Presidenta del BCE. Ha mantenido relaciones institucionales con los
fondos de la casa Rothschild durante su etapa en el FMI y el BCE. Sus
“políticas económicas de destrucción masiva” son de dominio público en
Europa).
Ursula von der Leyen (Black Rock)
(La inefable presidenta de la Comisión Europea, tan
corrupta como guerrerista y servidora evidente de los intereses de
EE.UU. según ha demostrado todavía más en su último encuentro con Donald
Trump, ha tenido vínculos institucionales con BlackRock. adjudicando un contrato de consultoría a ese Fondo para
elaborar una guía “sobre inversiones verdes y sociales” -aunque hoy
parece que esa agenda se está cambiando a marchas forzadas por la de “la
inversión bélica destructiva”, supuestamente antitética con la
anterior-).
Mark Rutte (Club Bildelberg)
(Quizás tal vinculación pueda hacer entender algo más por qué Rutte
se muestre como el mayor -¿sociópata?- sediento de guerra que ha tenido
la OTAN entre sus secretarios generales, lo cual es ya de por sí decir
una inmensidad).
Pero no sólo Europa ha sido objeto de estos movimientos de poder. Los
jefes estadounidenses y/o sionistas de la principal banda armada
mundial (OTAN), vienen dando un golpe de Estado a escala planetaria, en
un proceso de larga data.
Igual que la implantación del neoliberalismo fue de la mano de la
destrucción, infiltración o cooptación de los sujetos díscolos o
sencillamente anticapitalistas (desde sindicatos a guerrillas,
movimientos sociales, partidos y gobiernos “incómodos”), el actual golpe
de Estado mundial ha tenido sus manifestaciones en todo un reguero de
destrucción de sociedades: Irak, Afganistán, Yugoeslavia, Libia,
Somalia, Sudán, Yemen, Líbano, Siria…
Un golpe que se lleva a cabo cada día desestabilizando países y
cambiando sus gobiernos por otros impuestos por USA-PSM-(OTAN), y que
tiene sus expresiones más recientes, o de más inmediato futuro, en todo
el conjunto de hechos de guerra que estamos viviendo.
Enunciemos algunos de ellos (aparcando por esta vez la casi
destrucción total del continente americano, con el permanente asedio a
las pocas excepciones que quedan -Venezuela, Cuba y Nicaragua-).
USA-PSM-(OTAN):
Van a seguir a toda costa (costa que va a ser muy alta para las
poblaciones europeas) con el acoso a Rusia a través de Ucrania, como
insisten hasta la saciedad -y casi la demencia- los líderes europeos
antes citados, más Kaja Kallas, la Alta Representante de la Unión
Europea para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad (otra ansiosa de
guerra que hace quedar a Josep Borrell casi como un tímido
guerrerista).
(Sobre la guerra proxy contra Rusia, que corre cada vez más riesgo de
convertirse en una guerra abierta nuclear, creo que es pertinente la
lectura de Rafael Poch, La ampliación de la guerra de Ucrania está servida y bien anunciada | ctxt.es, pero también escuchar al coronel retirado y antiguo consejero de la Secretaría de Defensa de EE.UU., Douglas Macgregor, «La guerra es inevitable» – YouTube.
De hecho, si las potencias de la OTAN no han descuartizado a Rusia en
todo este tiempo es poque heredó de la URSS el impresionante armamento
nuclear y la línea de investigación que le permite disponer de armas de
primer nivel).
2. Ya han explicitado por fin su plan para Palestina, el cual pasa
por la rendición y desarme de la resistencia, la imposición de una
administración extranjera de los cachitos que quedan del territorio
palestino, con la colaboración cómplice de la “Autoridad Palestina” que
hará de escalón directo de control y represión de su propia población,
sin Estado alguno consentido por el ente sionista, sin retorno de la
población expulsada a lo largo de los años y sin autonomía para decidir
nada en absoluto (aun así, casi todos los que se vanagloriaban de
proponer la “solución de los dos Estados”, como el gobierno español,
dicen ahora estar contentos con ese plan que lejos de ser de “paz”, es
un despreciable chantaje, algo así como “o rendición y sometimiento
definitivo de las organizaciones en lucha o exterminamos a todo el
pueblo palestino”).
3. Han decidido completar la guerra contra Irán
Primero el Consejo de Seguridad rechaza propuesta rusa y activa el “SnapBack” contra Irán y
todas las sanciones multilaterales contra esa Estado se reactivan.
Luego, la UE hace lo propio (poco importa que el ente sionista esté
llevando a cabo el genocidio más siniestro, público y descarnado de la
historia de la humanidad, y que haya atacado a la casi totalidad de
países de Asia occidental: para los peones europeos de los grandes
poderes, es Irán el supuesto “peligro” a combatir). Esta acentuación de
la guerra económica no es sino la antesala para nuevas agresiones
militares preparadas por el tándem USA-ente sionista, muy probablemente
para antes de que acabe este año.
4. Para ultimar el ataque a Irán precisan asegurarse una última
pieza: Paquistán. Todo lo que estaba alrededor de Irán ha sido ya
destruido o desestructurado para imponer gobiernos subordinados a
USA-PSM, menos ese país, o no del todo. De una u otra manera, van a
desestabilizarle o a intentar subordinarle aún más (después del golpe de
Estado que dieron contra su presidente, Imran Khan) para que no
intervenga en favor de Irán, así como para debilitar las posturas
pro-“multipolaridad” de India. Tendrán que hacerlo con “inteligencia”,
eso sí, pues tiene armas nucleares (de facto, tener armas nucleares -eso
que el Imperio llama “de destrucción masiva”- ha sido la única garantía
de que USA no destroce un país, como bien sabe igualmente Corea, así
que dadas las circunstancias de permanente agresión imperial, ese
armamento es el único que está sirviendo hoy por hoy para prevenir la
guerra, aunque sea manteniendo una extraña y tensa paz).
5. La desestabilización del sureste asiático, más los golpes en
Bután, Sri Lanka, Bangladesh… el último en Nepal, son parte del Golpe de
Estado Mundial contra el Mundo Emergente y especialmente contra la
dupla chino-rusa y su construcción infraestructural mundial. Por cierto,
no deja de ser curioso comprobar una y otra vez, como decía, qué poco
se molestan ya las élites globales en disimular nada: 4 de cada 5 nuevos
ministros nepalíes provienen de órganos financiados por el gobierno de
EE.UU. Así por ejemplo, el gobierno «interino» de Nepal tiene por
ministro del interior a Om Prakash Aryal, quien proviene de la
NED-USAID, la Soros Open Society y The Asia Foundation (CIA)-funded
«Justice and Rights Institute-Nepal». De tan repetido y evidente podría
parecer aburrido, si no fuera por lo mortífero y dañino que resulta para
las sociedades afectadas, que ya son casi todas las del mundo.
A la vista de ello, para terminar este repaso, diríamos que
6. La Nueva Ruta de la Seda china queda altamente agujereada. Buena
parte de las sociedades asiáticas y africanas con las que tenía que
articularse han quedado arrasadas por el Imperio Occidental y sus
actuales órganos de poder mundial.
Por eso mismo, parece evidente que ni Rusia ni China puedan dejarse
dar más porrazos de este Golpe de Estado Mundial contra el más mínimo
atisbo de democracia, de convivencia, o de estabilidad de las sociedades
y sus posibles vías de desarrollo, en pro de la Guerra y el Caos. Sin
embargo, hasta ahora, dan la impresión de encajar resignadamente (¿o
pacientemente?) unos y otros de esos golpes.
Por su parte, y en cualquier caso, ¿cuánto más tiempo podrán sufrir
las poblaciones del mundo el sistemático y brutal destrozo de sus
condiciones de vida, de todo su medio y hábitat, sin reaccionar contra
USA-PSM y su banda armada?; ¿dejarán las sociedades europeas que “las
suiciden” sin siquiera levantar la voz?
Como dice Lazzarato (Estados Unidos y el «capitalismo fascista» – ObservatorioCrisis),
“la maquinaria del Estado-Capital ya no delega el uso de la gran
violencia en los fascistas: la organiza ella misma, quizás afectada por
la autonomía que el nazismo había asumido en la primera mitad del siglo
XX. El genocidio arroja una luz inquietante sobre la naturaleza del
capitalismo y la democracia, obligándonos a verlos como quizás nunca
antes los habíamos visto (…) Desde sus propias instituciones —al igual
que el capitalismo desde las finanzas y el Estado desde su
administración y ejército— produce guerra, guerra civil y genocidio”.
Donald Trump ha obligado a desplazarse al país a centenares de
generales estadounidenses desplegados por el mundo, a quienes hoy su
secretario de Guerra ha dado un discurso sin precedentes en la Base del
Cuerpo de Marines de Quantico (Virginia). Les ha dicho a los grandes
jefes militares que deben “prepararse para la guerra”, recuperar el
“ethos guerrero” y los “estándares físicos masculinos”, porque “los
enemigos se están agrupando y las amenazas están creciendo”.
Así que no, no es ninguna “ocurrencia” trumpista que USA haya
recuperado el nombre de su Departamento de Guerra, que es en realidad el
que siempre debió de llevar, como antes, al igual que el resto de
miembros de la más grande organización terrorista de la humanidad, la
del Atlántico norte.
Bien
qu'il existe des plaintes concrètes liant certaines entreprises
bananières en Équateur au trafic de cocaïne, parmi lesquelles Noboa
Trading, les enquêtes judiciaires n'ont pas avancé.
Il était président de la Colombie
depuis à peine un mois quand Alvaro Uribe Vélez s'est rendu à
Washington. Le mercredi 25 septembre 2002, il devait rencontrer son
homologue George Bush fils. On raconte que, la veille, on l’avait
conduit très discrètement au Département d’État et que, dans un salon à
part, on lui montra plusieurs cartons contenant des rapports de
renseignement et des mémorandums le liant aux narcotrafiquants du Cartel
de Medellín, ainsi qu’aux structures paramilitaires. Lorsqu’Uribe Vélez
fit comprendre qu’il avait saisi le message, on l’amena en un lieu où
l’attendaient des membres de sa délégation qui furent frappés par sa
pâleur. Le National Security Archive a rendu publics quelques-uns de ces
documents en juillet 2004.
Si, avant ce jour-là en Colombie, les
gringos exerçaient déjà un grand pouvoir, à partir de ce septembre le
pays s’est retrouvé à genoux, à leur merci, parce qu'Uribe devait
accepter tout ce que Washington lui demandait. Cependant que toute
l’horrible criminalité d’Uribe était tolérée, et même encouragée par
Washington. Il devint alors clair que le narcotrafic et sa cruauté
n’étaient pas un problème pour les États-Unis, du moment qu’ils
servaient leurs intérêts stratégiques.
Car Washington dispose
d’une arme très puissante pour atteindre ses objectifs sans recourir
directement aux armes : le chantage à l’information, presque toujours
personnelle, intime, toujours destinée à être utilisée contre ses alliés
ou ceux qui veulent cesser de l’être. Car contre ceux qu’il déclare
ennemis ou peu fiables, il s’autorise à inventer des histoires, même
sans preuves à présenter. Comme l’avait dit l’un des plus grands
idéologues de ce régime, Henry Kissinger : « Être l’ennemi des
États-Unis peut être dangereux, mais être leur ami est fatal. »
Bush
fils, puis Obama, vantèrent les mérites d’Uribe pour sa « coopération »
avec les États-Unis, tandis que la cocaïne entrait dans le pays comme
par une canalisation, tout en se félicitant d’une prétendue « lutte
conjointe contre le narcotrafic et le terrorisme ».
Sous le
gouvernement du président Biden, les éloges furent adressés à Daniel
Noboa, puis continués sous Trump. Noboa, président de l’Équateur depuis
novembre 2023, est né à Miami et possède la double nationalité. Il a
poursuivi des études supérieures aux États-Unis de 2008 à 2022, avant de
revenir en Équateur pour se lancer en politique. Son père, Álvaro
Noboa, est l’homme le plus riche d’Équateur et candidat présidentiel à
cinq reprises. La fortune familiale provient principalement de la
production et de l’exportation de bananes, via l’entreprise Noboa
Trading.
En Équateur, grand producteur et exportateur mondial de
bananes, la plupart des entreprises qui les produisent et/ou les
exportent ont leur siège aux États-Unis. Certaines de ces
multinationales opèrent par le biais de filiales : UBESA, filiale de
Dole Food Company, principal exportateur ; Reybanpac, filiale de Holding
Favorita Fruit Company Ltd. ; Del Monte Fresh ; et Chiquita Brands
International.
Une autre grande entreprise est Noboa Trading,
équatorienne, détentrice de la marque Bonita Banana. Ce groupe contrôle
toute la chaîne : production, commercialisation, fabrication d’intrants
(comme les cartons d’emballage et les engrais) jusqu’à l’exportation.
Noboa Trading appartient majoritairement à Lanfranco Holding S.A., une
société offshore basée au Panama. Selon les documents révélés par les «
Pandora Papers », les véritables propriétaires et bénéficiaires de
Lanfranco sont Daniel Noboa, président de l’Équateur, et son frère Juan
(John) Noboa. Lanfranco Holding détient 51% des actions de Noboa
Trading. L’autre actionnaire est Inmobiliaria Zeus S.A., liée à d’autres
membres de la famille Noboa, dont le président lui-même.
Des
rapports journalistiques et des études, comme le rapport publié en 2025
par la Commission européenne, affirment que la plupart de la cocaïne
saisie en Europe provenait de cargaisons de bananes équatoriennes. Selon
la Commission, 57% des conteneurs quittant le port de Guayaquil,
principal port équatorien, transportaient de la drogue parmi les fruits.
Plus de la moitié de la cocaïne saisie en Équateur à destination de
l’Europe et des États-Unis provenait également de ce port, dissimulée de
cette manièr
Par exemple, la plus grande saisie de l’histoire de
l’Espagne, le 14 octobre 2024, concernait 13 tonnes de cocaïne camouflée
de cette manière, découvertes au port d’Algésiras. Le navire était
parti de Guayaquil.
L’Office des Nations Unies contre la drogue et
le crime (ONUDC) a rappelé, dans son Rapport mondial sur les drogues
2025, que la Colombie demeurait l’épicentre de la production de feuilles
de coca et de cocaïne. Il précise que la majeure partie du trafic (87%)
vers l’Amérique centrale, le Mexique, les États-Unis et l’Europe
transite par le Pacifique. En partie par la Colombie, mais
principalement depuis l’Équateur. Seuls 8% passeraient par la Caraïbe
colombienne.
Bien
qu'il existe des plaintes concrètes liant certaines entreprises
bananières en Équateur au trafic de cocaïne, parmi lesquelles Noboa
Trading, les enquêtes judiciaires n'ont pas avancé, car les procureurs
chargés de ces dossiers sont régulièrement démis de leurs fonctions. Le
nouveau venu doit alors tout reprendre presque à zéro.
Malgré
cela, et reprenant presque les éloges qui avaient été adressés en son
temps à Álvaro Uribe, le célèbre narco-paramilitaire, le 5 septembre
dernier, le secrétaire d’État Marco Rubio a affirmé depuis Quito que les
États-Unis sont l’un des grands alliés de l’Équateur en matière de
sécurité, de commerce et de coopération. La chancelière Gabriela
Sommerfeld a clairement déclaré que l’Équateur était prêt à s’aligner
sur les priorités de son principal partenaire : « Les objectifs que
s’est fixés le président Daniel Noboa sont exactement ceux du président
Trump.
La chancelière s’est aussi félicitée des accords conclus à
l’occasion de la visite du secrétaire d’État, qui prévoyaient 13,5
millions de dollars pour combattre les « menaces narcoterroristes », et 6
millions pour des drones destinés à renforcer la Marine. Déjà en
juillet, les Forces armées équatoriennes avaient reçu des équipements
technologiques d’une valeur de 8 millions de dollars pour le contrôle
frontalier terrestre et maritime, livrés par les États-Unis, afin de «
renforcer les capacités » militaires dans la lutte contre le
narcotrafic, selon le ministre de la Défense Gian Carlo Loffredo.
En
contrepartie de ces apports militaires, Sommerfeld a annoncé que
l’Équateur avait accédé à une demande clé de Rubio : accueillir des
migrants expulsés des États-Unis, en tant que « pays tiers sûr », comme «
geste de gratitude » envers son partenaire : « L’Équateur va soutenir
les États-Unis dans cette démarche, c’est un symbole, c’est important
pour notre allié. »
Lors de la conférence de presse, un
journaliste rappela à Rubio que le rapport de l’ONU sur les drogues
avait été clair : près de 90% de la cocaïne sort par le Pacifique,
principalement par le pays qu’il visitait, l’Équateur. Sans s’attarder,
le journaliste lui demanda pourquoi un quasi-blocus naval frappait le
Venezuela, alors que par ce pays ne transitait qu’à peine 5% de la
cocaïne, elle-même en provenance de Colombie. Il n’a pas eu le temps de
lui dire, et aucun autre journaliste n’a osé ajouter, que l’ONU
soulignait que le Venezuela n’était pas un acteur majeur de la
production ni du trafic de drogues dans la région, son territoire étant
reconnu libre de cultures illicites.
Et dans sa réponse, Marco
Rubio a laissé transparaître une certaine colère : « On dit que le
Venezuela n’est pas impliqué dans le trafic de drogues parce que l’ONU
l’affirme. Mais je me fiche de ce que dit l’ONU ! Parce que l’ONU ne
sait pas de quoi elle parle ! Maduro est inculpé par un grand jury du
district sud de New York. (…) Il n’y a aucun doute que Maduro est un
narcotrafiquant. » Ainsi balaya-t-il les rapports internationaux sur le
narcotrafic pour justifier des actions unilatérales, en l’occurrence
militaires, de son gouvernement
La vérité est que, jusqu’à
aujourd’hui, la justice américaine n’a présenté aucune preuve tangible
contre le président Maduro ni contre aucun haut dirigeant de cette
nation bolivarienne.
En 2025, le régime étasunien aurait fourni
environ 25 millions de dollars au gouvernement Noboa pour lutter contre
la principale route du trafic de cocaïne, que la BBC qualifiait déjà en
2021 « d’autoroute de cocaïne vers les États-Unis et l’Europe ».
Ces
25 millions devraient servir à combattre les mafias étrangères en
Equateur — italiennes, albanaises, colombiennes et mexicaines — qui,
chaque année, contrôlent davantage de territoire. Mais nul ne sait
comment de tonnes de cocaïne se retrouvent dissimulées dans les bananes
principalement, ainsi que dans des cargaisons de crevettes et d’autres
produits d’exportation.
Sans doute trop modestes pour ce travail
titanesque, ces 25 millions contrastent avec les dépenses colossales
engagées pour maintenir le siège militaire contre le Venezuela, qui
serait le grand centre du narcotrafic universel, selon Washington : 8
cuirassés, 2 400 missiles, près de 8 000 marines et même un sous-marin
nucléaire, qui coûtent au contribuable étasunien entre 7 et 10 millions
de dollars par jour. Ils sont stationnés depuis près d'un mois au large
des côtes bolivariennes, où leur seule prouesse fut de couler une petite
barque avec un missile. Faites le calcul.
En définitive, ces 25
millions de dollars, bien utilisés, seraient suffisants pour surveiller
de près les exportateurs de bananes, à commencer par l’entreprise de ce
grand « coopérateur », le président Noboa, ainsi salué par Marco Rubio
entre embrassades.
Et entre deux étreintes, Washington tient Noboa bien en main. Comme Uribe jadis. Pauvre Équateur.
La Fin de l'Exception : Pour une lecture universaliste et décoloniale de la mémoire de la Shoah
Le
génocide perpétré à Gaza révèle, avec une brutalité tragique, que la
commémoration de l’Holocauste ne sert plus nécessairement à prévenir de
telles horreurs, mais parfois à les justifier. Loin d’éclairer le passé,
sa mémoire serait détournée pour manipuler le présent.
Presque tous les spécialistes de l’Holocauste, qui considèrent toute
critique à l’encontre d’Israël comme une trahison absolue, se sont
abstenus de condamner les atrocités commises à Gaza. Aucune des
institutions consacrées à la recherche et au souvenir de la Shoah n’a
établi les parallèles historiques pourtant évidents, ni dénoncé le
massacre des Palestiniens.
Ce silence révèle, à quelques exceptions près, leur véritable
objectif : non pas étudier la nature humaine et sa terrible propension
au mal, mais sanctifier les Juifs en tant que victimes éternelles, et
ainsi absoudre l’État ethno-nationaliste d’Israël de ses
crimes – colonialisme, apartheid et génocide.
En instrumentalisant ainsi l’Holocauste et en refusant de défendre les
victimes palestiniennes au seul motif de leur identité, ces institutions
et mémoriaux ont perdu toute autorité morale. Désormais, ils sont
publiquement dénoncés comme des instruments non pas de prévention, mais
de perpétuation du génocide ; non pas d’exploration du passé, mais de
manipulation du présent.
El rey de Marruecos, Mohamed VI, en una ceremonia religiosa, en una imagen de archivo.
MAP vía Europa Press (MAP vía Europa Press)
Por Ahmed Omar
La reciente incautación de tres toneladas de resina de cannabis en el puerto de Casablanca, destinadas a Bélgica a través de empresas pantalla como Unimer Group, revela una verdad incómoda: Marruecos el mayor productor de hachís del mundo, continúa siendo un actor clave en la exportación masiva de droga a Europa.
Este no es un caso aislado; es la punta de un iceberg que ha infiltrado
las instituciones políticas del continente y amenaza su independencia.
Marruecos y el narcotráfico: un problema sistémico
Según informes de la ONU, Marruecos produce cerca del 70% de la resina de cannabis mundial, con rutas de tráfico que atraviesan España y Bélgica como principales puertas de entrada al mercado europeo. El puerto de Amberes, en Bruselas,
se ha convertido en un epicentro del contrabando, donde cada año
toneladas de droga cruzan las fronteras ocultas en contenedores de
supuestos productos legales, como conservas o harina de pescado.
La red marroquí no es solo una maquinaria delictiva; su objetivo es
mucho más ambicioso. A través de los beneficios del narcotráfico, Marruecos ha
construido un sistema paralelo que financia operaciones de presión
diplomática, sobornos y chantajes a figuras políticas europeas.
Moroccogate: Europa comprada con dinero de droga
El escándalo ‘Moroccogate’, que sacudió al Parlamento Europeo,
expuso las conexiones peligrosas entre el régimen marroquí y políticos
europeos. Sobornos y maletas de dinero circulaban entre bastidores para
ganar apoyos en cuestiones claves como la ocupación ilegal del Sáhara Occidental
o los acuerdos comerciales. Marruecos no solo compra influencia;
utiliza el dinero del narcotráfico para corromper y chantajear a
políticos, debilitando así las decisiones soberanas de Europa.
El Parlamento Europeo, mientras declara luchar contra la corrupción, ha visto cómo sus cimientos tiemblan. Bélgica, que acoge las instituciones europeas, paradójicamente se ha convertido en una víctima y cómplice a la vez: víctima porque su puerto es una puerta de entrada, cómplice porque la corrupción sistémica facilita estas operaciones ilícitas.
Un silencio cómplice
¿Por qué Bruselas, epicentro de las decisiones europeas, permite que Marruecos exporte droga y corrupción con tanta impunidad? La respuesta es doble: miedo e intereses económicos. Los
países europeos, dependientes de Marruecos en temas como migración o
comercio, prefieren mirar hacia otro lado mientras toneladas de droga
destruyen a generaciones enteras.
Mientras tanto, las empresas fachada, como las mencionadas en este último caso (Unimer Group),
continúan operando con total normalidad, enmascarando cargamentos de
hachís como harina de pescado o productos agroindustriales.
Europa: entre la seguridad y la decadencia
Europa enfrenta una disyuntiva crítica. Permitir que Marruecos continúe
utilizando el narcotráfico para financiar su agenda política no solo
destruye su credibilidad, sino que pone en peligro la seguridad de
millones de ciudadanos europeos. Bruselas, el símbolo de la libertad y la democracia, está bajo asedio: asedio del narcotráfico, de la corrupción y de un régimen que usa la droga como moneda de presión diplomática.
El silencio cómplice de las instituciones europeas y la tolerancia hacia Marruecos son una traición a los principios de libertad e independencia política. Europa debe actuar con firmeza, revisar sus acuerdos con Marruecos, sancionar las empresas involucradas y exigir transparencia absoluta en el comercio.
No es solo una cuestión de drogas; es una cuestión de soberanía, dignidad y justicia. Si Europa no
despierta, pronto el dinero del narcotráfico controlará más que sus
puertos: controlará sus políticas, sus instituciones y, en última
instancia, su futuro.
La impunidad de Marruecos no solo está manchada de droga, sino también de corrupción y chantaje. Europa debe decidir si enfrentará este problema con valentía o si seguirá siendo rehén de un narcoestado diplomático.
1998. Dans l'annonce, Mikhail Gorbatchev, l'ancien président soviétique apparaît aux côtés de sa
petite-fille d'alors âgée de 10 ans, Anastasia, tandis que les clients
débattent farouchement de son héritage. Selon CNN,
"la publicité utilise leur présence dans un restaurant Pizza Hut pour
suggérer que le capitalisme est meilleur que le communisme parce qu'il
rend disponible des luxes comme Pizza Hut".
Le porte-parole de Gorbatchev, Karen Karagezian, a déclaré que Gorbatchev avait accepté de faire la publicité afin de gagner de l'argent pour sa fondation de recherche.
"Je suis en train de créer une bibliothèque et une archive de perestroïka, et ce projet nécessite certains fonds", a déclaré Gorbatchev à CNN. " La Perestroïka
a donné un élan à la Russie et au monde entier. Il est très important
que tout ce qui s'est passé soit préservé dans ces deux centres."
Gorbatchev a déclaré qu'il avait refusé d'approuver d'autres produits,
mais a fait une exception seulement pour Pizza Hut parce que la pizza
"rassemble les gens".
"C'est une partie importante de la vie", a-t-il déclaré. "Ce n'est pas
seulement la consommation, c'est aussi socialiser. Si je n'avais pas vu
que c'était bénéfique pour les gens, je n'aurais pas accepté."
Au moment où la publicité a été faite, Sergueï Tatosyan, le directeur de
la Pizza Hut, basée à Moscou, où la publicité a été filmée, a déclaré que la publicité ne sera pas montrée en Russie en raison de
l'impopularité de Gorbatchev.
Non seulement les États-Unis ont contribué à créer les
conditions permettant aux Khmers rouges d’accéder au pouvoir au Cambodge
en 1975, mais ils ont également soutenu activement cette force
génocidaire, tant sur le plan politique que financier. Dès janvier 1980,
les États-Unis finançaient secrètement les forces exilées de Pol Pot à
la frontière thaïlandaise. L’ampleur de ce soutien – 85 millions de
dollars entre 1980 et 1986 – a été révélée six ans plus tard dans une
correspondance entre Jonathan Winer, avocat du Congrès et alors
conseiller du sénateur John Kerry (Démocrate-Massachusetts) de la
commission des affaires étrangères du Sénat, et la Vietnam Veterans of
America Foundation. Winer a déclaré que ces informations provenaient du
Congressional Research Service (CRS). Lorsque des copies de sa lettre
ont été diffusées, l’administration Reagan était furieuse. Puis, sans
expliquer clairement pourquoi, Winer a réfuté ces chiffres, sans
toutefois contester qu’ils provenaient du CRS. Dans une deuxième lettre
adressée à Noam Chomsky, Winer a toutefois réitéré l’accusation
initiale, qu’il m’a confirmée, la déclarant « absolument correcte ».
Washington a également soutenu les Khmers rouges par l’intermédiaire
des Nations unies, lesquelles ont fourni à Pol Pot le moyen de revenir
au pouvoir. Bien que le gouvernement khmer rouge ait cessé d’exister en
janvier 1979, chassé par l’armée vietnamienne, ses représentants ont
continué à occuper le siège du Cambodge à l’ONU. Ce droit a été défendu
et encouragé par Washington qui y voyait un prolongement de la Guerre
froide, un moyen pour les États-Unis de se venger du Vietnam et un
élément de sa nouvelle alliance avec la Chine (principal bailleur de
fonds de Pol Pot et ennemi de longue date du Vietnam). En 1981, le
conseiller à la Sécurité nationale du président Carter, Zbigniew
Brzezinski, a déclaré : « J’ai encouragé les Chinois à soutenir Pol Pot.
» Il a ajouté que les États-Unis avaient « fermé les yeux » lorsque la
Chine avait envoyé des armes aux Khmers rouges via la Thaïlande.
Organes
de gouvernance, chaires, partenariats, start-ups, associations d’élèves
et d’anciens élèves… La place croissante des grandes entreprises à tous
les niveaux de l’École polytechnique et leur influence sur le contenu
de la recherche et de l’enseignement posent question dans un contexte
d’urgence climatique.
La tentative de
Total d’implanter un bâtiment sur le campus de l’École polytechnique,
puis celle de LVMH deux ans plus tard, ont suscité d’importantes
mobilisations de la part des élèves, du personnel et de la société
civile.
Dans son rapport Polytechnique : une école d’État sous emprise,
l’Observatoire des multinationales montre que derrière ces affaires
médiatisées, les grandes entreprises françaises et étrangères continuent
de tisser leur toile à tous les niveaux de l’École polytechnique,
influençant le contenu de la recherche et de l’enseignement.