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dimanche 10 août 2025

De l'écriture métagraphique à la supertemporalité situationniste


La supertemporalité situationniste, qu'elle que soit l'amorce, littéraire ou filmique, est, par nature, expansive.

Exemple, ici, avec Histoire des gestes de Guy Debord (qui signe Guy-Ernest). 

Ce roman "tridimensionnel" pourrait tout autant s'appeler supertemporel, l'aventure à suivre est la même, au gré du lecteur (et du spectateur) créateur: l'amorce part de l'écriture métagraphique – les collages sur des bouteille de rhum –, après à chacun son labyrinthe.

 

Extrait d'Internationale lettriste, nº 3, août 1953 

Robespierre détourné par Debord


 «  Alors que jusqu'à présent tout truquage de l'histoire, au cinéma, s'aligne plus ou moins sur le type  de bouffonnerie des reconstitutions de Guitry, on peut faire dire à Robespierre, avant son exécution : "malgré tant d'épreuves, mon expérience et la grandeur de ma tâche me font juger que tout est bien". Si la tragédie grecque, opportunément rajeunie, nous sert en cette occasion à exalter Robespierre, que l'on imagine en retour une séquence du genre néo-réaliste, devant le zinc, par exemple, d'un bar de routiers - un des camionneurs disant sérieusement à un autre : 

On voit ce que cette rencontre ajoute en rayonnement à la pensée de Maximilien, à celle d'une dictature du prolétariat. »

 

 * Extrait de "Mode d'emploi du détournement" de Guy Debord et Gil J Wolman, texte paru initialement dans Les Lèvres nues, nº 8, mai 1956.

* Jean Gabin dans La Belle équipe de Julien Duvivier, 1936.


 

vendredi 9 août 2024

Películas de Yuli Raizman (de las pocas disponibles)

Mashenka, 1942
Subtítulos en inglés
 
La Caída de Berlín o simplemente Berlín, 1945
Fue premiado como mejor documental en el festival de Cannes 1946. Lo pudo ver Guy Debord en Cannes, o cuando salía en sala ya con la fama hecha (en una de sus fichas lo ví, BUSCAR!). Con la Guerra Fría en 1947, ver películas soviéticas supone ir a los ciné-clubs, a circuitos minoritarios.
 
 
O Comunista, 1957 (trailer)
 
                                    ....Y volver a ver el tan breve pero inmenso Yevgeni Urbansky