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vendredi 24 octobre 2025

Odessa, il y a 84 ans

 

Tout ce qu'il faut savoir sur Odessa - UAmedTOURS FR 
 
Ce matin, à l’aube…

A Odessa à l’aube du 23 octobre 1941, 5000 Juifs étaient pendus par groupe de 3 à 5 à chaque lampadaire des boulevards d’Odessa. La veille des agents du NKVD avaient fait sauté le QG de l’Armée Roumaine d’occupation situé devant le parc Alexandrosvsky, causant la mort d’un cinquantaine de militaires Roumains. Odessa avait été conquis 6 jours plus tôt, et le NKVD avait piégés les bâtiments susceptibles d’être utilisés par les occupants, comme à Kiev un mois auparavant  les destructions avaient été le prétexte du massacre de Babi Yar.

Les représailles ne s’arrêtèrent  pas là, car ce n’était pas des représailles, c’était la mise en oeuvre de la Shoah par la Roumanie. En 1926, il y avait 133.000 Juifs à Odessa, le 1 novembre 1941 ils étaient plus que 33.885. Le 10 avril 1942, 702. En Novembre 1944, la nouvelle administration Soviétique en dénombra 48.

Comme la France, la Roumanie développa une politique antisémite d’état et la population non Juive et l’armée Roumaine, ont été grandement autonomes en terme « opérationnel » dans la Shoah. Les Nazis d’ailleurs se félicitèrent d’avoir un « allié » aussi entreprenant dans l’assassinat des Juifs d’URSS : ils en assassinèrent  en tout 300.000 en Roumanie et dans les territoires conquis en URSS. Comme la France, la Roumanie eut (et a toujours) du mal à se regarder dans le miroir de l’Histoire.  
  
Comme toutes choses venant du Front de l’Est, l’Europe Occidentale connait peu ce passé Roumain, et se soucie guère d’ailleurs de parfaire sa connaissance. Ce matin, à l’aube, j’ai pleuré Odessa.

         
Cartea neagra - Le Livre noir sur la destruction des Juifs de Roumanie (1940-1944)  de Matatias Carp / Denoël


lundi 20 octobre 2025

17 moments de printemps (Tatiana Lioznova, 1973)

 
Premier épisode :
 

 Deuxième épisode :

 

Troisième épisode :

 

 Quatrième épisode :

 

 Cinquième épisode :

 

Sixième épisode :

 

Septième épisode :

 

 Huitième épisode :

 

Neuvième épisode :

 Dixième épisode :

 

Onzième épisode :

 

Douzième épisode :


 


 

 

dimanche 12 octobre 2025

La Joven guardia (Sergueï Guerassimov, 1948)

 






El 11 de octubre de 1948 tenía lugar el estreno del drama bélico "Молодая гвардия" (La joven guardia), largometraje dirigido por Sergei Gerasimov para los Estudios de Cine Gorki.
Adaptación de la novela homónima de Alexander Fadeev, la película está protagonizada por Vladimir Ivanov, Inna Makarova, Sergei Gurzo, Boris Bityukov, Nonna Mordyukova, Sergei Bondarchuk, Lyudmila Shagalova y Vyacheslav Tijonov, entre otros, y atrajo a las salas de cine soviéticas a más de 34 millones de espectadores.
Sinopsis - Julio de 1942. Unidades del ejército soviético abandonan la ciudad minera de Krasnodon y los alemanes la ocupan. Los tanques enemigos cortan la carretera y un grupo de miembros del Komsomol se ve obligado a regresar a casa. En respuesta a las atrocidades nazis, los estudiantes recién llegados a la escuela formaron una organización clandestina, la "Joven Guardia", que librará una guerra encubierta contra los ocupantes: distribuyen panfletos, liberan a un grupo de soldados del Ejército Rojo capturados, incendian una bolsa de valores alemana, salvando a sus compatriotas de la esclavitud nazi, y ondean banderas rojas soviéticas en el aniversario de la Revolución de Octubre.


Quién mató a Walter Benjamin? (documental, 2005)


 

 
 
Adorno y los "colegas" de la Escuela de Frankfurt, ya en USA, lo abandonaron como deshaciéndose  de un competidor demasiado rojo.

vendredi 10 octobre 2025

Le Soldatesse/Des filles pour l'armée (Valerio Zurlini, 1965)

 

 

Avec Mario Adorf, Marie Laforêt, Anna Karina, Léa Massari 

1942, en Grèce, le lieutenant d’infanterie Gaetano Martino reçoit à contre-cœur l’ordre d’escorter jusqu’à leurs « postes de travail » respectifs un groupe de prostituées destinées aux soldats. Pour l’accompagner, le jeune officier désigne le sergent Castagnoli, un Toscan d’âge mûr, plutôt sympathique. Au cours du voyage, Gaetano se découvre peu à peu solidaire de ces jeunes filles dont la plupart ont accepté ce travail pour survivre. 

 

Pour voir des femmes soldats ou partisanes, c'est de l'autre côté du "Rideau de fer". Mais très peu de films sont disponibles, cela donnerait une caution morale et féministe à l'affreux monde totalitaire. 

Les Français ont fait peu de films sur la Résistance, contrairement aux Italiens, sans doute à cause du comportement collaborationniste (des millions de lettres de dénonciation) et la concomitance de la Guerre en Algérie (qui était les résistants dans ce contexte-là?).

vendredi 26 septembre 2025

La II° Guerre mondiale de Max Ernst et la III° Guerre mondiale des situationnistes : influence picturale et réalités géopolitiques


L'Europe après la pluie, 1, Max Ernst, 1933.  C'est l'année où Hitler prend le pouvoir -où le Zentrum lui donne plutôt. Ernst s'exile. Le tableau annonce la guerre inévitable à l'Est dans le nouvel "espace vital" (entre Caspienne, mer Noire et Baltique). 

L'Europe après la pluie, 2, Max Ernst, 1940-1942. Le résultat de ce qui était annoncé s'expose: horizon palpable entre catastrophe et nouvelle origine (si la bête est défaite).

Internationale situationniste, n° 9, août 1964. Comme le reste de la population, les situationnistes vivent dans l'ambiance de guerre nucléaire dont l'Europe serait le terrain. Et plaident activement contre. À l'inverse des militants et artistes actuels, à l'avant-garde des endormis, des consentis.

 


 

 

 

jeudi 4 septembre 2025

Armes nucléaires : 80 ans après Trinity, pourquoi y a-t-il eu si peu de dissensions à Los Alamos ?

EXTRAIT SIGNIFICATIF: "En d’autres termes, les responsables de Washington craignaient qu’une démonstration réussie ne les prive de l’occasion tant convoitée d’utiliser la bombe et d’affirmer le monopole (même temporaire) qu’ils venaient d’acquérir sur un pouvoir sans précédent."

ARTICLE EN INTÉGRALITÉ: https://www.les-crises.fr/armes-nucleaires-80-ans-apres-trinity-pourquoi-y-a-t-il-eu-si-peu-de-dissensions-a-los-alamos/

 

Admiral William H.P. Blandy and his wife cut an Operation Crossroads mushroom cloud cake, while Admiral Frank J. Lowry looks on. 
This photograph (taken November 7, 1946) was first published on p. 18 of Washington Post (November 8, 1946).

L’élite financière a massivement soutenu la montée du fascisme, ou comment l’histoire est censurée [ Annie Lacroix-Riz ]

 SOURCE: https://www.initiative-communiste.fr/articles/culture-debats/lelite-financiere-a-massivement-soutenu-la-montee-du-fascisme-ou-comment-lhistoire-est-censuree-annie-lacroix-riz/

 Dans un entretien accordé le 18 juillet 2025 sur la chaîne youtube suisse Espoir et dignité TV notre camarade l’historienne Annie Lacroix-Riz apporte une brillante démonstration des falsifications de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale. 


 Des falsifications qui visent à masquer combien la classe capitaliste et en particulier l’élite financière a massivement soutenu la montée du fascisme et la collaboration. Une histoire qui pourtant doit être connue en 2025 alors que les mêmes mécanismes amènent à nouveau la France, l’Europe et le monde vers le même gouffre.


 

Bibliographie :

  • David Glantz, La Guerre germano-soviétique 1941-1945 : Mythes et réalités, traduction française, Paris, Delga 2022. Bibliographie complète, https://en.wikipedia.org/wiki/David_M._Glantz
  • Joseph E. Davies, Mission to Moscow, London, Victor Gollancz Limited, 1945 (dont entrée du 23 juin 1941, pour ses confidences à Roosevelt sur les perspectives de victoire soviétique, p. 303.
  • Lénine, L’impérialisme, stade suprême du capitalisme, https://www.initiative-communiste.fr/wp-content/uploads/2016/10/Limp%C3%A9rialisme-stade-supr%C3%A8me-du-Capitalisme.pdf et diverses versions en ligne
  • Olivier Wieviorka, exemple-type d’historien médiatique sans archives (toutes les références sont de seconde main), conseiller attitré de l’histoire télévisuelle, selon lequel les Américains ont libéré la France, https://isp.cnrs.fr/project/wieviorka-olivier/
  • Les ouvrages d’Annie Lacroix-Riz, notamment sur la Deuxième Guerre mondiale, https://www.dunod.com/livres-annie-lacroix-riz (comportant tous référence à la lettre du général Doyen (pas de Huntziger, mais le ministère de la Guerre partageait cet avis), rédigée par Armand Bérard) à Pétain, 16 juillet 1941, note annexe au rapport 556 du général Doyen à Koeltz et Pétain, DSA, Wiesbaden, 16 juillet 1941, W3, instruction et procès de la Haute Cour de Justice, vol. 210, Archives nationales).

mardi 13 mai 2025

Industria de guerra y socialismo

Si la industria dependiese de intereses privados, si no fuese socializada, hubiese sido imposible realizar lo que consiguieron los soviéticos durante su Gran Guerra patriótica: desplazar toda la industria a cientos de kilómetros de los invasores.

 

Solo unos días después del comienzo de la invasión nazi, en la URSS se desarrolló un procedimiento para la evacuación de empresas industriales y sus trabajadores. 



No se podían dejar instalaciones industriales en el territorio ocupado, no se podía permitir que el enemigo utilizara las capacidades de producción existentes.

De las zonas bajo amenaza de ocupación se retiraron principalmente herramientas y maquinaria, metales no ferrosos, combustibles y lubricantes y otros equipos industriales. La tarea no era sólo evacuar el equipo, sino también colocarlo en un nuevo lugar lo más rápidamente posible y comenzar a producir las armas, municiones y dispositivos que el país necesitaba tan desesperadamente.

Las empresas fueron transportadas desde Ucrania, Bielorrusia, Moscú y Leningrado a los Urales, Siberia y Asia Central a una base industrial ya existente, que tuvo que ser ampliada apresuradamente, y algunas empresas evacuadas comenzaron a trabajar en una nueva ubicación, en el pleno sentido de la palabra, al aire libre.

En total, durante un año (de 1941 a 1942), 2743 empresas de la URSS, incluidas 1523 grandes, fueron transportadas desde las regiones occidental y meridional del país hacia el este. Al principio, tanto las empresas como las personas se vieron obligadas a existir en condiciones inadecuadas para la vida: las fábricas a menudo se erigían al aire libre y la gente solía instalarse en refugios improvisados o incluso dormir junto a sus máquinas. Todos estos esfuerzos se convirtieron en una contribución integral para lograr la Victoria común.


lundi 12 mai 2025

Mitos occidentales de la II guerra mundial (1931-1945) consisten en ignorar a China y minimizar a Rusia

 

WANG WEN, Decano de la Escuela de Liderazgo Global,
Universidad Renmin de China.

Con el 80º aniversario del fin de la Segunda Guerra Mundial, se ha hecho cada vez más visible cómo los roles vitales de China y Rusia en la derrota del fascismo se degradan y distorsionan en la narrativa occidental.

La memoria selectiva de Occidente distorsiona la percepción pública del pasado y confunde la política global actual. Cuatro mitos persistentes sobre la Segunda Guerra Mundial siguen moldeando la geopolítica moderna. 

Mito uno. La falacia de los seis años

Uno de los conceptos erróneos históricos más persistentes es el período de seis años que duró la Segunda Guerra Mundial, que limita su comienzo a la invasión de Polonia por parte de Alemania en 1939. Esta visión ignora la invasión de Etiopía por parte de Italia en 1935, la Guerra Civil Española (1936-1939) y la agresión a gran escala de Japón en Asia que comenzó en 1931 con la invasión de Manchuria, casi una década antes de que comenzara la guerra en Europa.

Los historiadores occidentales de pensamiento libre AJP Taylor y John Toland reconocieron que las brutales acciones de Japón en China fueron un precursor crucial de la Guerra del Pacífico. La agresión japonesa desafió el orden internacional posterior a la Primera Guerra Mundial y envalentonó a los regímenes fascistas, incluido el nazi en Alemania. Las matanzas y las atrocidades sistemáticas de Japón, como la Masacre de Nanjing, presentaban escalofriantes paralelismos con los crímenes nazis contra los judíos. Ciudades como Nanjing fueron sometidas a la destrucción y sus habitantes a ejecuciones masivas y violaciones. Estos hechos están profundamente arraigados en la memoria colectiva china.

Desde la perspectiva china, esta larga y brutal lucha, conocida en China como la Guerra de Resistencia contra Japón y que se extendió desde 1931 hasta la rendición de Japón en 1945, sentó las bases para la victoria aliada. Sin embargo, Occidente ignora en gran medida esta perspectiva.

Mito dos. El papel central de Occidente

La idea de que los acontecimientos centrales de la Segunda Guerra Mundial se desarrollaron en Europa distorsiona aún más la verdad histórica. Estados Unidos y el Reino Unido llevan mucho tiempo destacando la importancia del desembarco de Normandía como un punto de inflexión crucial. Mientras tanto, el papel de la Unión Soviética en la derrota de la Alemania nazi —que costó millones de vidas— ha sido minimizado o ignorado en Occidente, especialmente en el contexto de la Guerra Fría.

El papel de la Unión Soviética en la derrota de las fuerzas nazis en el Frente Oriental es innegable. Antes de la apertura del Frente Occidental en 1944, la Unión Soviética ya había infligido importantes derrotas a Alemania, con un coste inmenso. Con 27 millones de bajas, la contribución de la Unión Soviética fue crucial para la victoria definitiva de los Aliados.

Mito tres. La resistencia a largo plazo de China

El papel de China en la Segunda Guerra Mundial suele descuidarse o minimizarse en las narrativas occidentales.

Sus bajas durante los diez años de la Guerra de Resistencia contra Japón ascendieron a más de 35 millones, pero a pesar del inmenso coste, China se presenta desde la perspectiva occidental como una víctima pasiva o un participante indirecto. Mientras tanto, las fuerzas chinas colaboraron con las potencias aliadas en el Sudeste Asiático. Colaborando con Estados Unidos en la campaña de la Carretera de Birmania, China contribuyó a la mayor contribución de los aliados en su esfuerzo bélico y debilitó la capacidad militar japonesa, permitiendo así que la Unión Soviética se centrara más en el frente europeo.

La resistencia militar china desempeñó un papel estratégico: al contener al ejército japonés, limitó la capacidad de Japón para combatir en otros frentes. China fue una fuerza crucial que ayudó a inclinar la balanza en el Pacífico. La resistencia china fue indispensable para agotar los recursos japoneses y debilitar su posición estratégica general, lo que sentó las bases para la derrota de las potencias del Eje.

Mito cuatro. La victimización de Japón

La representación de Japón como víctima de la Segunda Guerra Mundial, especialmente tras los bombardeos atómicos de Hiroshima y Nagasaki, es otro tema delicado para muchos en China. Esta narrativa tiende a minimizar el papel de Japón como agresor en Asia. La Masacre de Nanjing, en la que las tropas japonesas asesinaron a cientos de miles de civiles chinos, sigue siendo un tema controvertido en Occidente, con debates inmersos en las cifras de víctimas, el contexto histórico y las susceptibilidades políticas.

Muchos en China ven esto como un intento de reescribir la historia, especialmente cuando el sufrimiento de los civiles chinos se ve eclipsado por el hecho de que Japón es víctima de los bombardeos atómicos.

El desprecio por la abrumadora evidencia de los crímenes de guerra cometidos por Japón, incluidos los relatos de testigos oculares y las fotografías de las atrocidades y la esclavitud sexual, despierta ira en la sociedad china. 

La renuencia de los dirigentes japoneses a reconocer plenamente estos crímenes y a ofrecer disculpas oficiales y sin reservas, y la falta de voluntad de algunas figuras e instituciones políticas para afrontar este oscuro capítulo de la historia exacerban las tensiones e impiden una reconciliación genuina.

Reescribiendo la historia con cooperación internacional

Estos cuatro mitos, profundamente arraigados en la política de la Guerra Fría, reflejan los persistentes esfuerzos de Occidente por mantener su dominio global. Al enfatizar la contribución de Occidente y minimizar la de China y la Unión Soviética, estas narrativas contribuyen a consolidar el poder político e ideológico de Occidente.

Hoy, a medida que la política global evoluciona hacia la multipolaridad, es crucial corregir estos errores históricos. Corregirlos requiere una sólida cooperación académica internacional, así como una comprensión más matizada por parte de los académicos occidentales de las contribuciones de China y la Unión Soviética a la victoria en la Segunda Guerra Mundial.

Esto podría ayudar a prevenir malentendidos en el futuro y promover una narrativa histórica global más precisa. El 80.º aniversario del fin de la Segunda Guerra Mundial ofrece una excelente oportunidad para honrar el papel de todas las naciones vencedoras —no solo las occidentales— en la derrota del fascismo.

dimanche 20 avril 2025

Mussolini Ultimo Atto (Carlo Lizzani, 1974). Recensiones sobre Mussolini en films y el libro "Mussolini il figlio del secolo"


 https://conversacionsobrehistoria.info/2025/03/17/el-origen-del-mito-de-mussolini-al-duce-algunas-consideraciones-a-partir-de-la-serie-de-television-y-el-libro-m-el-hijo-del-siglo-m-il-figlio-del-secolo/

Il processo di Verona (Carlo Lizzani, 1963)

 


 

FUENTE: https://www.rebeldemule.org/foro/filmoteca-ficcion/tema13784.html
 

Sinopsis:

    [propia]Roma (Italia), 25 de julio de 1943. El gobierno fascista es incapaz de repeler el empuje antifascista, que se está desplegando rápidamente por el sur. Se reúne el Gran Consejo del Fascismo para evaluar la situación. Para sorpresa de Mussolini, el grueso vota en favor de su destitución y la entrega del poder ejecutivo a la monarquía, que está en mejores condiciones de pactar una rendición honrosa ante lo inevitable.

    Los alemanes, conscientes de que así pierden un aliado clave, reaccionan en septiembre con un contragolpe: ponen a salvo a Mussolini, que proclama una república independiente en el norte de Italia (vulgarizada como "de Saló"), con sede oficiosa en Verona, y toman el control político-militar de todas las regiones que aún no han caído en manos de la coalición angloestadounidense. Sin embargo, se encuentran con un problema adicional. Entre los golpistas del 25 de julio destaca Galeazzo Ciano, que ha sido uno de los validos del Duce, su cuñado carnal y primer embajador. Este posee un diario donde ha anotado, en primera persona, sucesos y órdenes controvertidas que, de caer en manos antifascistas, podría ser usado contra los vencidos al final de la Guerra. Gane quien gane, Ciano no podría estar en peor lugar.

Comentario personal:

    Su moraleja es que toda esa palabrería que sobre el honor gastan los fascistas, viejos o nuevos, son pamplinas. Como ley primera, la gente de poder quiere mantener una situación social que, a su vez, la mantiene como sujeto, por lo que buscará su reproducción: el ejercicio de virtudes republicanas o aristocráticas (típicas del fascismo las segundas) es una evocación que es relegada cuando ese objetivo está en riesgo. En su última hora, todos estos camaradas de armas, honorables samuráis del fascio, hermanados por la sangre y una firme voluntad de trascendencia histórica, se acuchillan entre ellos y les importa una mierda todo lo que no sea sobrevivir, como comprobamos en la actual fantasía escapista de los ricos o en el cobardica jefe del rojipardo Frente Obrero.

En la introducción, en el guion, se escribió:

Galeazzo Ciano, interpretado por Frank Wolff, escribió:

Augusto Martínez Torres, en "El proceso de Verona", en El País, el 28 de enero de 1999, escribió:Escrita por Ugo Pirro, su máximo interés radica, más que en la reconstrucción de unos hechos históricos, en los esfuerzos de Edda Mussolini para que su padre, el Duce, salve la vida a su marido, el conde Ciano.

Jorge García, en "Los olvidados: desde Italia: Carlo Lizzani", en Con los Ojos Abiertos, el 1 de abril de 2021, escribió:[...] recrea con intensidad un hecho histórico en los días de la caída de Mussolini, cuando un grupo de fascistas de su gabinete, encabezados por el Conde Ciano, esposo de la hija del dictador (una excelente Silvana Mangano) son acusados de haberlo traicionado y serán juzgados y condenados por sus propios compañeros, con el diario del Conde como macguffin del relato.


Ficha técnica


Reparto:

L'oro di Roma / Traqués par la Gestapo (Carlo Lizzani, 1961)


 

Achtung! Banditi! (Carlo Lizzani, 1951)


 

dimanche 13 avril 2025

80 años de la insurrección victoriosa del campo de concentración de Buchenwald (y pinturas del vecino insurrecto Taslitzsky)

FUENTE: https://insurgente.org/el-campo-de-concentracion-de-buchenwald-fue-liberado-por-prisioneros-comunistas/

Hace 80 años, el 11 de abril de 1945, unidades de la 4ª División Blindada del general George S. Patton, de las fuerzas armadas estadounidenses, se dirigieron hacia la ciudad de Weimar (Alemania), donde se encontraba el campo de concentración de Buchenwald. Finalmente, las tropas de Patton tomaron el control del campo, pero los testimonios de los soldados, recogidos más tarde por historiadores, sugieren que no fueron los tanques estadounidenses los que liberaron Buchenwald: el campo ya había sido tomado por la organización y el coraje de los prisioneros, quienes aprovecharon la huida de los soldados alemanes ante el avance aliado.

Las personas prisioneras políticas en el campo de concentración de Buchenwald se habían organizado en Kampfgruppen [grupos de combate]. Utilizaron un arsenal de armas ocultas para promover un levantamiento dentro del campo, desarmar a los guardias nazis y tomar la torre de entrada. Desde allí, izaron una bandera blanca y formaron un anillo alrededor del campo para informar a las tropas estadounidenses que ya lo habían liberado. Das Lager hatte sich selbst befreit, dijeron: “el campo se liberó a sí mismo”.

No fue solo en Buchenwald donde hubo rebeliones. En agosto de 1943, lxs prisionerxs de Treblinka se alzaron en una rebelión armada y, a pesar de ser acribilladxs, obligaron a los nazis a cerrar este repulsivo campo de exterminio (en el que fueron asesinadas casi un millón de personas judías).

El Ejército Rojo de la Unión Soviética y las fuerzas estadounidenses también liberaron varios campos, la mayoría de ellos horrendos centros de exterminio del Holocausto. Las tropas estadounidenses liberaron Dachau en abril de 1945, pero fue el Ejército Rojo quien abrió las puertas de la mayoría de los peores campos, como Majdanek (julio de 1944) y Auschwitz (enero de 1945) en Polonia, Sachsenhausen y Ravensbrück (abril de 1945) en Alemania.

Dominik Černý (Checoslovaquia), K.L. Dora: Bydlení ve štole [K. L. Dora: Viviendo en el túnel]), 1953.

En julio de 1937, el régimen nazi trasladó prisioneros desde Sachsenhausen a una zona cercana a Weimar (ciudad natal de Johann Wolfgang von Goethe y Friedrich Schiller y también lugar donde se firmó la Constitución alemana de 1919). Lxs prisionerxs despejaron casi 400 acres de bosque para construir un campo de concentración con capacidad para 8.000 personas, a quienes el comandante nazi Hermann Pister (1942–1945) utilizó para experimentación médica y trabajo forzado. Al momento del cierre del campo, ocho años después, casi 280.000 personas habían pasado por allí (en su mayoría comunistas, socialdemócratas, pueblos romaní y sinti, judíxs y disidencias cristianas). A fines de 1943, los nazis fusilaron a cerca de 8.500 prisioneros de guerra soviéticos en el campo y asesinaron a muchxs comunistas y socialdemócratas. Se estima que el régimen nazi asesinó en total a 56.000 prisioneras y prisioneros en este campo, incluyendo a Ernst Thälmann, dirigente del Partido Comunista de Alemania (KPD), quien fue ejecutado el 18 de agosto de 1944 tras pasar once años en confinamiento solitario.

Sin embargo, Buchenwald no fue un campo de exterminio como Majdanek o Auschwitz. No formó parte directa de la abominable “solución final a la cuestión judía” (Endlösung der judenfrage) de Adolf Hitler.

Dentro de Buchenwald, comunistas y socialdemócratas establecieron el Comité Internacional del Campo para organizar su vida cotidiana en cautiverio y llevar a cabo actos de sabotaje y resistencia (incluidos, de manera notable, ataques a las fábricas de armamento cercanas). Con el tiempo, esta organización evolucionó hasta convertirse en el Comité del Frente Popular, creado en 1944, con cuatro dirigentes: Hermann Brill (Frente Popular Alemán), Werner Hilpert (Demócrata Cristiano), Ernst Thape (Socialdemócrata) y Walter Wolf (Partido Comunista de Alemania). Lo más notable de esta iniciativa fue que, pese a encontrarse en condición de prisionerxs, el comité ya había comenzado a debatir el posible futuro de una nueva Alemania, completamente desnazificada y basada en una economía cooperativa. Mientras estuvo en Buchenwald, Walter Wolf escribió A Critique of Unreason: On the Analysis of National Socialist Pseudo-Philosophy [Una crítica de la sinrazón: Sobre el análisis de la seudo filosofía nacionalsocialista].

Nachum Bandel (Ucrania), Block 51. Buchenwald. Small Camp [Block 51. Buchenwald. Campo pequeño], 1947.

Una semana después que lxs prisionerxs liberaran Buchenwald, colocaron una escultura de madera cerca del campo como símbolo de su resistencia antifascista. Querían que el campo de concentración no fuera recordado solo por las muertes, sino también por su resiliencia durante el encarcelamiento y por su auto-liberación. En 1945, las prisioneras y prisioneros ya habían formulado el Juramento de Buchenwald, que se convirtió en su credo: “Solo abandonaremos la lucha cuando la última persona culpable haya sido juzgada por el tribunal de todas las naciones. La destrucción total del nazismo, hasta sus raíces, es nuestra consigna. La construcción de un mundo nuevo, de paz y libertad, es nuestro ideal”.

El campo de concentración, ubicado entonces en la República Democrática Alemana (RDA o Alemania Oriental), fue convertido en una prisión para nazis que esperaban sus juicios. Algunos de ellos fueron ejecutados por sus crímenes, entre ellos, el alcalde de Weimar, Karl Otto Koch, quien había organizado el arresto de judíxs en la ciudad en 1941. Mientras tanto, al otro lado de la Cortina de Hierro, la República Federal de Alemania (Alemania Occidental) incorporó rápidamente a ex integrantes del régimen nazi en la burocracia estatal, al punto que dos tercios del personal superior de la Bundeskriminalamt (Oficina Federal de Policía Criminal) estaban compuestos por ex nazis. A medida que el proceso de juicios y castigos llegaba a su fin, los restos de Buchenwald pasaron a formar parte del proyecto de memoria pública en la RDA.

Ilse Häfner-Mode (Alemania), Portrait of a Woman in Front of a Wooden Door [Retrato de una mujer frente a una puerta de madera], s/f.

En 1958, Otto Grotewohl, socialdemócrata y primer ministro de la RDA, abrió el campo para que cientos de miles de trabajadoras, trabajadores y escolares lo visitaran, recorrieran sus instalaciones, escucharan los relatos, tanto de las atrocidades como de la resistencia y se comprometieran con el antifascismo. Ese mismo año, el ex prisionero Bruno Apitz publicó Desnudo entre lobos, novela que narra cómo el movimiento de resistencia en el campo escondió a un niño pequeño, asumiendo un gran riesgo y cómo más tarde ese mismo movimiento tomó el control del campo en 1945. La novela fue adaptada al cine en la RDA por Frank Beyer en 1963. La historia se basaba en el testimonio real de Stefan Jerzy Zweig, un niño que fue ocultado por lxs prisionerxs para evitar que fuera deportado a Auschwitz. Zweig sobrevivió al horror y falleció en Viena en 2024, a los 81 años.

La RDA forjó su cultura nacional en torno al tema del antifascismo. En 1949, el Ministerio de Educación Popular instó a las escuelas a construir un calendario de actividades centrado en la lucha antifascista, en lugar de en las festividades religiosas. Por ejemplo, se promovía el Día Mundial por la Paz en lugar del Fasching [Martes de carnaval]. La antigua Jugendweihe [ceremonia de iniciación juvenil] fue transformada, dejó de ser únicamente un rito de paso para convertirse en una afirmación del compromiso de las y los jóvenes con el antifascismo. Las escuelas organizaban salidas pedagógicas a Buchenwald, Ravensbrück y Sachsenhausen, donde el estudiantado podía conocer de cerca la atrocidad del fascismo y cultivar valores humanistas y socialistas. Fue una poderosa práctica de transformación social para una cultura que había sido arrastrada al nazismo.

Herbert Sandberg (Alemania), We Didn’t Know [No lo sabíamos], 1964.

Cuando Alemania Occidental anexó a la República Democrática Alemana (RDA) en 1990, comenzó un proceso de desmantelamiento de los avances en materia de antifascismo desarrollados en la RDA. Buchenwald se convirtió en el epicentro de este ejercicio. En primer lugar, la dirección del campo se volvió objeto de controversia. La doctora Irmgard Seidel, quien había asumido la dirección tras el ex prisionero del KPD Klaus Trostorff en 1988, se enteró por un artículo de prensa de que había sido destituida (investigando archivos de las SS, la doctora Seidel había descubierto que hubo 28.000 mujeres prisioneras en Buchenwald que trabajaron como mano de obra esclavizada, en su mayoría en fábricas de armamento). Fue reemplazada por Ulrich Schneider, quien más tarde también fue removido, luego de que se revelara que había sido miembro del Partido Comunista en Alemania Occidental. A él lo sucedió Thomas Hofmann, suficientemente anticomunista como para complacer a las nuevas autoridades políticas.

En segundo lugar, la orientación antifascista de la memoria pública debía ser modificada para promover el anticomunismo, lo que incluyó minimizar el memorial dedicado a Ernst Thälmann. Se puso un nuevo énfasis en el uso que hizo la Unión Soviética de Buchenwald como prisión para nazis.

Historiadores provenientes de Alemania Occidental comenzaron a publicar relatos que sostenían que fueron los soldados de Patton y no lxs prisionerxs, quienes liberaron el campo (esta es, por ejemplo, la interpretación del influyente libro de Manfred Overesch Buchenwald und die DDR. Oder die Suche nach Selbstlegitimation [Buchenwald y la RDA, o la búsqueda de la autolegitimación], publicado en 1995). En junio de 1991, el canciller alemán Helmut Kohl presidió una ceremonia para instalar seis grandes cruces en memoria de las víctimas de “la dictadura del terror comunista” y se refirió a los crímenes nazis como si fueran equivalentes a las acciones de la Unión Soviética.

Entre 1991 y 1992, el historiador alemán Eberhard Jäckel encabezó una comisión para reescribir la historia de Buchenwald, lo que incluyó acusaciones contra prisionerxs comunistas de haber colaborado con los nazis y la conmemoración de las “víctimas” de la prisión antifascista. Esta reordenación oficial de los hechos históricos tuvo por objetivo elevar a los fascistas y deslegitimar a quienes los resistieron. Este tipo de revisionismo histórico ha alcanzado nuevas dimensiones en los últimos años: representantes diplomáticos de Rusia y Bielorrusia —dos antiguas repúblicas soviéticas— han sido excluidos de los actos conmemorativos anuales. En los discursos pronunciados en el memorial, se ha equiparado a los campos de concentración nazis con los campos de trabajo soviéticos. Mientras tanto, las banderas de Israel se exhiben abiertamente en Buchenwald, pero se ha prohibido la entrada a personas que usan la keffiyeh y se ha reprimido cualquier mención del genocidio en Palestina.

Hilde Kolbe lleva a su clase de estudiantes vietnamitas de la Escuela Médica Dorothea Christiane Erxleben Quedlinburg, RDA, a Buchenwald, 15 de abril de 1976.

En la década de 1950, artistas comunistas colaboraron para erigir memoriales en Buchenwald que conmemoraran la lucha antifascista. Los escultores René Graetz, Waldemar Grzimek y Hans Kies crearon estelas con relieves, en cuyos dorsos grabaron un poema de Johannes R. Becher, primer ministro de Cultura de la RDA:

Thälmann vió lo que un día ocurrió:
Desenterraron las armas que habían escondido.
De la tumba se levantaron lxs condenadxs,
Miren sus brazos extendidos como un llamado.
Miren el memorial que de mil formas grita,
evocando nuestras luchas presentes y pasadas.

Los muertos advierten: ¡Recuerden Buchenwald!

En este boletín, las pinturas son obra de ex prisionerxs de Buchenwald y la fotografía muestra La revuelta de los prisionerxs, escultura en bronce de Fritz Cremer —militante del KPD desde 1929— que representa la autoliberación del campo.

Vijay Prashad


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La insurrección victoriosa de Buchenwald del 11 de abril 1945, por Boris Taslitzsky

 Boris TASLITZKY, Peintures, Témoignages 2Boris TASLITZKY, Peintures, Témoignages 2Boris TASLITZKY, Peintures, Témoignages 2

dimanche 6 avril 2025

Les artistes DEVANT les guerres mondiales (en dérivant dans ma bibliothèque et ailleurs)

 
 
Dès la veille de la Première Guerre mondiale, les premiers conflits dans les Balkans avaient laissé entrevoir l'apocalypse qui s'annonçait. Parmi d'autres, les "prophètes" du Blaue Reiter avaient anticipé le chaos et promis une destinée messianique aux artistes. Partagés entre l'attente de "l'homme nouveau" et la peur de la destruction, ils s'étaient résolus à prendre part au grand bouleversement. Beaucoup d'artistes ont alors partagé la volonté de s'emparer des armes nouvellement forgées par la politique, avec l'espoir de prendre part au combat et de regagner par là la légitimité sociale dont l'art pour l'art les avait privés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce n'est toutefois qu'après la guerre que le combat symbolique, devenu réel et éprouvé pour certains dans les tranchées, prit la forme organisée de groupes constitués sur le principe des formations politiques radicales. A Berlin, Dada s'était emparé des armes, et promettait dès ses débuts par les voix de Richard Huelsenbeck, Raoul Hausmann, Jefim Golyscheff, la formation d'une "union internationale et révolutionnaire de tous les hommes et femmes créateurs et intellectuels fondée sur un communisme radical".  











 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
À COMPARER AVEC AUJOURD'HUI,
notamment après la visite à la foire d'art contemporain Art Paris au Grand Palais. Il semblerait que tous les artistes se sont donnés pour mot d'ordre d'éviter le réel. C'est de l'art qui ressemble aux acheteurs, de l'art macronien. Le bâtiment est beau avec ce soleil, mais l'esprit l'a d'autant plus déserté. Un temps maussade, parigot, m'aurait rendu mélancolique, mais là c'est ce vide qui frappe: une serre à rien.
 



Brigitte Macron y a fait son petit tour samedi 5, elle est dans la ligne de ses ouailles: le savoir-vivre bidon, bidonné. Je retiens le travail de Marcos Carrasquer, peintre d'histoire contemporaine. Il le voit le réel, et celui de 2020 ressemble beaucoup à celui qu'annonce 2025. Ça sent la guerre, toujours plus vrai et spectaculaire, avec ses personnages qui s'entretuent pour trois rouleaux de papier-cul: c'est le struggle for life du ventre mou vraiment totalitaire, celui de l'occident terminal croqué et recroqué dans chacune de ses peintures. Les critiques de la foire et d'ailleurs disent de sa peinture qu'elle est grotesque, ironique, sarcastique, etc. Que l'humour soit une singularité, parmi le concours permanent des subjectivités spectacularisées, en dit suffisamment sur le nouveau désert, car l'humour a toujours été capture du réel (le "spectacle" est une socialisation et notamment par l'image: les séries de Netflix et d'autres plateformes similaires ont plus de poids dans la socialisation des nouvelles générations aux quatre coins du monde que d'autres, plus régionales, comme l'école - une socialisation globale devenue le règne de la séparation achevée).
 
On pouvait acheter dans la foire du vieux Bretécher, du vieux Wolinski, de l'humour de gôche, cette gauche qui voulut "changer la vie" avec le cagoulard Mitterrand mais surtout pas les rapports de production. De l'humour bien mort donc, mais toujours revendable à un autre mort-vivant à écharpe colorée (il faisait 24º). Et effectivement, c'est le réel qui s'amenuise quand toutes les stratégies l'évite. 

                   Marcos Carrasquer, The 2020 toilet paper rush, 2021

 

mercredi 26 mars 2025

Été 1944: l'autre défilé

 On avait un peu l'idée de la France au ventre mou vichysto-résistant: au printemps 1944 les Parisiens célébraient Pétain, et fin août 1944, les troupes alliés et la Résistance. Mais cette vidéo russe -mise en avant par les réseaux étatsuniens pour se venger du vassal français- resserre encore plus les temps puisqu'on y voit des français, et notamment des françaises, cracher et frapper des soldats anglo-américains capturés depuis le débarquement de juin 1944.