“Production problems no longer exist. A few movements alone are
sufficient, and the machines make everything by themselves in eternally
repeating cycles. (…)
The explosive decentralization of consumer goods distribution has
pulverized the cities, has eliminated them from the face of the earth.
(…)
There are no longer men going to work, because men are not needed in the factories (…)”
Cover
by Ettore Sottsass Jr: “Rafts for listening to chamber music. They set
off from the sources of the Tocantins River, in the mist of the jungle,
and reach the sea. During the pause on the shore one can change rafts,
or stay on the ground, collecting fruit, or mushrooms growing there, if
so desiring. (Or look at the bird of paradise, the pale-blue polychrome
phenomenon, cloud of feathers or flying cushion)”
La foto se
tituló “Ataque accidental de napalm” y “El terror de la guerra”, pero es
mundialmente conocida como “Napalm Girl”. Se tomó el 8 de junio de 1972
y muestra a una niña, Kim Phuc, de 9 años, desnuda, corriendo
desconsolada hacia el fotógrafo, huyendo de un ataque con napalm en una
aldea llamada Trảng Bàng.
La fotografía causó una tremenda conmoción en la opinión pública, que
seguía percibiendo que aquella guerra, que causó la muerte de dos
millones de personas inocentes, era tan absurda como criminal. Hoy, el
impacto mundial de “Napalm Girl” resulta envidiable por una sencilla
razón: en la actualidad llegan a nuestros teléfonos imágenes de víctimas
infantiles más espantosas que la de Kim Phuc quemada, pero la reacción
no es la misma.
Le seul extrait youtube que j'ai trouvé de ce film est celui-ci:
Sans doute l'aspect guerrier féminin a-t-il retenu le uploader, cet extrait "technique" de la guerre manifeste un rôle des femmes inconnu ailleurs duranr la WWII, tant du côté allié occidental qu' allemand (qui avait des gardiennes de camps de concentration, donc armées). Dans la Guerre (dite) civile russe, les femmes sont déjà "au contact" (voir La Commissaire). Elles sont d'ailleurs à l'origine de la Révolution russe en 1917, mais ce rôle actif nous défrise encore, ce qui souligne d'autant le peu de choses que nous savons sur la révolution, le socialisme et les femmes (Cuba aussi est un cas manifeste d'un féminisme rouge qui incommode).
Encore un très beau film de PROPAGANDE que j'ai pu voir grâce au fond des bibliothèques parisiennes...encore cette sensibilité et esthétique russes qui fait d'autant plus passer le cinéma occidentalo-yankee pour du pipi de chat (où l'émotionnel frappe toujours au même endroit, de manière aussi "bourrine" que le monde globalement construit par l'hégémon).
Toute
ressemblance avec une conspiration médiatique en vu d'influer sur les élections en France au mois de juin 2024 serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure
coïncidence
Synopsis
Dans un contexte politique particulièrement explosif, le journal conservateur milanais Il Giornale
affiche envers et contre tout son soutien à la classe patronale. Se
préparant à des élections qui s'annoncent houleuses, la rédaction, menée
par le peu scrupuleux Bizanti, met d'ailleurs tout en œuvre pour
orienter l'opinion publique, profitant d'une sombre affaire de crime
sexuel pour l'émouvoir. Le sinistre fait divers est ainsi monté en
épingle et Mario Boni, jeune militant communiste soupçonné du meurtre,
est très vite désigné comme coupable en première page afin de mieux
discréditer les différents courants gauchistes. Intrigué par de criantes
anomalies dans la façon dont est menée l'enquête, le jeune reporter
Roveda, d'abord docile, finit par démonter la vaste machination
médiatique dans laquelle se sont engagés ses employeurs et découvre le
véritable coupable.