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jeudi 31 juillet 2025

"Yambo Ouologuem, l'écrivain prodige oublié"

 


Análise das fortalezas medievais do Val de Salas (Juan Manuel Galiña, Eduardo Breogán Nieto)


 Algo hay na Aguioncha, algo gordo..

Le "marxisme occidental" financé par la CIA?


 

« Les Reporters sans frontières » : qui sont-ils réellement ?

 

Nombreux sont ceux qui ont entendu, un jour ou un autre, le nom tant imagé de l'organisation « Reporters sans frontières » qui inspire une confiance spontanée et qui ne pousse pas, d’une manière naturelle, à se poser la question : qui y a-t-il derrière une aussi belle étiquette, qui sont ces « reporters » ?

De ce fait, rares sont ceux qui ont pris la peine de s’arrêter et de se pencher en détail sur l’essence et les pratiques de cette organisation journalistique qui prétend être constituée des grands défenseurs de la démocratie et de la liberté de parole des journalistes du monde entier, des nobles travailleurs de la plume totalement apolitiques, désintéressés et impartiaux dans leurs jugements et actions au-delà de toutes les frontières.

Corrigeons cette erreur de l’injuste inattention de la part du grand public et de la plupart des médias : rendons hommage au travail des glorieux journalistes de RSF, en mettant en lumière un certain nombre d’éléments fort intéressants les concernant : ils le méritent grandement.

Des éléments qui démontreront plus que clairement que l’ONG « Reporters sans frontières » possède un deuxième visage, le vrai, qui est bien plus intéressant que le premier, visible et si fièrement affiché.

 ARTICLE EN INTÉGRALITÉ: https://www.legrandsoir.info/les-reporters-sans-frontieres-qui-sont-ils-reellement-le-dossier.html

Quand les 14 juillet étaient rouges: l'année 1953 (les guerres de l'histoire)

 

En 1953, le monde est entré dans l’ère de la confrontation Est-Ouest pour le partage du monde : d’un côté, les États-Unis et les grandes puissances occidentales (France et Royaume-Uni), de l’autre, l’URSS et les « démocraties populaires ». C’est aussi le temps des décolonisations, et l’empire colonial français craque de partout : Vietnam, Madagascar, Cameroun, Maroc, Tunisie, sans parler de l’Algérie et des massacres du 8 mai 1945 dans le Nord-Constantinois.

En France, la gauche politique et syndicale est surtout focalisée autour de la guerre d’Indochine et contre les États-Unis1 et plusieurs militants et dirigeants communistes ou cégétistes sont arrêtés et inculpés pour « atteinte à la sûreté de l’État », comme le soldat Henri Martin2.

La police protège l’extrême droite

Peu de gens le savent, mais pendant longtemps les organisations politiques et syndicales de la gauche française ont défilé le 14 juillet depuis 1935. Ces défilés faisaient partie des traditions ouvrières au même titre que le 1er mai. Ils étaient autorisés et à partir de 1950, les nationalistes algériens du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD), vitrine légale du Parti du peuple algérien (PPA) — interdit depuis 1939 —, avec à sa tête Messali Hadj, décident de se joindre aux défilés du mouvement ouvrier français. `

La manifestation démarre place de la Bastille à Paris, et on peut y voir d’anciens combattants, le Mouvement de la paix, le Secours populaire, l’Union de la jeunesse républicaine de France, l’Union des étudiants communistes et de l’Union des femmes françaises (UFF). La CGT suit avec ses différentes fédérations syndicales (cheminots, métallurgie…), puis viennent les organisations de la banlieue parisienne. On voit aussi des bonnets phrygiens, des Marianne qui font des rondes, des fanfares républicaines. Une tribune avec un grand nombre de personnalités politiques de gauche est placée à l’arrivée, place de la Nation. Dans la manifestation, on entend les slogans : « Libérez Henri Martin ! » ou « Paix en Indochine ! » Enfin, en queue du défilé viennent les Algériens du MTLD. Mais avant même que le cortège des Algériens ne se mette en marche, un petit groupe d’une vingtaine de militants d’extrême droite cherche à les provoquer et à les frapper. Très rapidement, ils se retrouvent encerclés par le service d’ordre de la CGT et des Algériens. La police va alors intervenir, mais pour les protéger et non les arrêter.

ARTICLE EN INTÉGRALITÉ: https://orientxxi.info/lu-vu-entendu/les-balles-du-14-juillet-1953-un-massacre-oublie,6494 

Quand les 14 juillet étaient rouges: l'année 1951 (les guerres de l'histoire)

Des délégations régionales venues de toute la France défilent avec des banderoles « Pour la liberté de défendre la paix », « Pour un pacte de paix entre les 5 grands ». Un calicot réclame une banderole réclame "l'acquittement des seize Martiniquais de Basse-Pointe". Les manifestants, très nombreux, portent pour certains des drapeaux français, soviétique, chinois, américain et anglais. Un plan montre les cortèges qui avancent, avec à l'arrière-plan la fontaine de la place de la Nation et une banderole « Chantons pour la paix ».

A la veille d’un grand rassemblement du Mouvement de la paix prévu le 15 juillet 1951 à Paris, le PCF décide de transformer le défilé du 14 juillet en manifestation pour la paix, en particulier pour réclamer un pacte de paix entre les 5 grandes puissances.

Article en intégralité: https://www.cinearchives.org/catalogue-14-juillet-1951-une-manifestation-placee-sous-le-signe-de-la-paix-1104-545-1-0.html 

 


 

 

Propos marxistes d'Angela Davis à la sortie de son livre en 1975

 

"Le racisme c'est une idéologie qui a été utilisée d'abord pour justifier la surexploitation de noirs".

 

"Les blancs de la classe ouvrière n'ont pas d'intérêt objectif à être raciste. 

Ils ne profitent pas du tout du racisme."

 

 

L'analyse dialectique d'Angela Davis est l'antithèse de la pensée essentialiste wokiste et de son jumeau de droite (la fondation Mellon, par exemple, bien consciente de défendre les intérêts "unitaires" capitalistes, soutient à la fois Judith Butler et Donald Trump: voir à ce propos les recherches de Gabriel Rockhill, notamment ici).