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samedi 8 février 2025

Les premiers plans de frappes nucléaires US contre l'URSS

 Totality
Le premier plan de frappe nucléaire contre l'URSS

🔸 En 1944, au plein milieu de la 2GM, les experts américains prédisaient que les USA et l'URSS deviendraient les premières puissances mondiales à l'issue de la guerre. On pensait que l'URSS, occupée à redresser son économie endommagée par la guerre et ce jusqu'en 1952, réduirait ses forces armées à 3 millions d'hommes.

🔸Le 16 juillet 1945, pour la première fois dans l'histoire, une explosion nucléaire est perpétrée. Le moment ne fut pas choisi par hasard : il fallait se doter d'un atout avant les négociations avec l'URSS. Le lendemain s'ouvrait la conférence de Potsdam, où devait se jouer le sort de l'Europe. À la fin de la rencontre, les USA démontrent les terribles possibilités des armes nucléaires, réduisant Hiroshima et Nagasaki en cendres. Tout cela a démontré que la 2GM pouvait devenir le prologue d'une guerre encore plus destructrice.

🔸Dès que les USA se sont dotés d'armes nucléaires, l'URSS est devenue une cible potentielle pour leur utilisation. Dès octobre 1945, l'état-major du général Eisenhower, sur ordre du président Truman, a commencé à élaborer un plan militaire secret, Totality. La liste des cibles des bombardements nucléaires comprend 20 sites industriels. 

🔸Pour les stratèges militaires américains, ce fut le bon moment. L'URSS a payé le prix de 27 millions de vies pour la victoire de la 2GM, tandis que les USA l'ont payé avec moins d'un demi-million de vies. Le potentiel industriel des USA s'était accru de manière considérable grâce aux commandes militaires. À la fin de la 2GM, les USA représentaient les deux tiers de la production industrielle mondiale.

🔸Les analystes prévoyaient également qu'en cas d'attaque soviétique, toute l'Europe occidentale serait conquise en moins d'un mois, car le rapport des forces était alors de 3:1 en faveur de l'URSS. Au printemps 1946, l'URSS disposait d'environ 160 divisions en Allemagne, en Autriche et en Europe de l'Est.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_Totality

 

Autres planifications de frappes nucléaires contre l'URSS

🔸Depuis la seconde moitié du XXe siècle, l'OTAN "pacifique", dirigée par les USA, empêche l'URSS "agressive" d'agir. Depuis 1945, les plans de guerre avec l'URSS ont été remplacés les uns après les autres. Chaque nouveau programme fixe un nombre croissant de cibles en URSS et de bombes atomiques en conséquence :

💥Pincher - 1946
💥Broiler – 1947
💥Bushwacker, Halfmoon (avec 🇬🇧 et 🇨🇦), Fleetwood, Cogwill, Offtackle, 💥Charioteer – 1948
💥Trojan et Dropshot - 1949
https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Dropshot
🔸En 1956, le plan Dropshot a été élargi pour inclure 2 listes de 1’000 cibles à détruire. La première liste comprenait des cibles militaires, la seconde des infrastructures civiles - villes et industries. D'autres villes soviétiques devaient être bombardées : Kiev, Donetsk, Sébastopol, Lvov, ainsi que Varsovie, Berlin et Pékin.

🔸La liste des cibles, déclassifiée secret en 2015, est intitulée "Study of Atomic Weapons Requirements for 1959" (Étude des besoins en armes atomiques pour 1959). Les adresses exactes et les noms des lieux figurent toujours dans "l’Encyclopédie des bombardements", un document classé secret. La liste a été créée à une époque où les USA avaient un énorme avantage sur l'URSS, avec un arsenal nucléaire environ 10 fois plus important.

🔸Ces programmes prévoyaient une attaque préventive, en supposant que l'URSS déclencherait la guerre en Europe de l'Ouest. Le succès décisif était assuré par un bombardement atomique massif du territoire de l'URSS afin de saper son potentiel économique et de causer un choc psychologique à la population. La "première frappe" atomique soudaine devait faire comprendre aux dirigeants soviétiques qu'il était vain de résister davantage.

🔸Chaque jour nouveau pouvait transformer la guerre froide en un véritable conflit planétaire. Avec la formation du bloc de l'OTAN, Washington a davantage d'alliés et le potentiel militaire des États-Unis s'accroît. Les plans militaires deviennent plus brutaux et plus cyniques.
 

Gallant confirme avoir émis la directive Hannibal pour tuer ses propres civils & soldats le 7 octobre

 Source: https://www.france-irak-actualite.com/2025/02/l-ancien-chef-de-guerre-israelien-confirme-avoir-emis-la-directive-hannibal-pour-tuer-ses-propres-civils-soldats-le-7-octobre.html?fbclid=IwY2xjawIUKCRleHRuA2FlbQIxMQABHY7xtTbVlPOwIEU7mf_LdQ0V--EU_KV2ja2hMRCTFmG9i3nCY_mgdKEPJw_aem_nl0mgOLPsN9jdW04oB6h2w&sfnsn=scwspmo

Par la rédaction de The Cradle  (7 février 2025)*

L'ancien ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a reconnu avoir ordonné à l'armée d'appliquer la Directive Hannibal et tué des civils et soldats israéliens lors de l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023.

Lors d'une interview accordée à Channel 12 en Israël le 7 février, M. Gallant a admis avoir ordonné le protocole controversé qui consiste à tuer les captifs en même temps que leurs ravisseurs.

Lorsqu'on lui a demandé si un ordre avait été donné pour mettre en œuvre la directive Hannibal, Gallant a répondu :

“Tactiquement, par endroits, l’ordre a été donné, et à d'autres, il ne l'a pas été, et c'est problématique”.

Israël affirme que le Hamas a tué environ 1 100 civils et soldats israéliens lors de son attaque contre les colonies et les bases militaires israéliennes le 7 octobre dans le cadre de l'opération “Al-Aqsa Flood”.

Cependant, les forces israéliennes ont tué un grand nombre de leurs propres civils et soldats au cours de l'attaque. L'armée a envoyé des hélicoptères d'attaque, des drones et des chars sur son propre territoire pour répondre à l'attaque, tuant non seulement des combattants du Hamas, mais aussi des civils et des soldats israéliens que les combattants palestiniens ont tenté de ramener en captivité à Gaza.

Des hélicoptères israéliens ont également tué des civils israéliens lors du festival Nova, qui se déroulait près de la base militaire de Re'im.

M. Gallant a également fustigé l'ancien ministre Sécurité de la police, Itamar Ben Gvir, pour sa prise d'assaut provocatrice de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem, déclarant que cela “a créé une situation explosive”.

M. Gallant a fait ces commentaires lors de sa première interview depuis qu'il a été démis de ses fonctions de ministre de la Défense en novembre.

L'ancien ministre de la Défense a déclaré que l'accord de cessez-le-feu actuel avec le Hamas à Gaza est presque identique à une proposition antérieure que le Hamas était prêt à accepter en mai de l'année dernière.

M. Gallant a accusé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son cabinet d'avoir retardé l'accord de cessez-le-feu, ajoutant que s'il l'avait accepté à l'époque, Israël aurait pu ramener plus de prisonniers vivants tout en libérant moins de prisonniers politiques palestiniens, a déclaré M. Gallant.

Un grand nombre des 251 soldats et civils israéliens capturés avec succès par le Hamas ont ensuite été tués par des frappes aériennes israéliennes et des tirs amis de la part de soldats.

“Je considère que le gouvernement israélien n'a pas fait tout ce qu'il aurait pu entreprendre pour libérer les otages”, a déclaré M. Gallant.

En janvier, le général le plus haut gradé d'Israël, Herzi Halevi, a démissionné. Il a évoqué le “terrible échec” de la sécurité et du renseignement concernant l'attaque du Hamas.

La guerre qu'Israël a menée par la suite contre Gaza a tué au moins 47 000 Palestiniens, certaines estimations suggérant que le nombre de morts dépasse largement les 200 000.

*Source : The Cradle

Traduction: Spirit Of Free Speech

 

Affaire Usaid (Miche Collon)

 


Centenares de mujeres violadas y quemadas en los combates en República Democrática del Congo

 Fuente: https://www.eldiario.es/internacional/theguardian/centenares-mujeres-violadas-quemadas-combates-republica-democratica-congo_1_12027740.html

“Las violaron a todas y luego prendieron fuego al ala de mujeres de la prisión. Después murieron todas”, ha señalado la jefa adjunta de la misión de paz de la ONU en República Democrática del Congo 

Cientos de mujeres fueron violadas y quemadas vivas durante el caos desatado tras la entrada de un grupo rebelde apoyado por Ruanda en la ciudad congoleña de Goma la semana pasada.

Las reclusas fueron atacadas en su ala dentro de la prisión Munzenze de Goma durante una fuga masiva, según un alto funcionario de la ONU. 

La jefa adjunta de la fuerza de mantenimiento de la paz de la ONU con base en Goma, Vivian van de Perre, declaró que mientras varios miles de hombres consiguieron escapar de la prisión, la zona reservada a las mujeres fue incendiada.

Las imágenes tomadas poco después de que los rebeldes del M23, apoyados por Ruanda, alcanzaran el centro de Goma mostraban enormes columnas de humo negro que se elevaban desde la prisión en la mañana del 27 de enero.

Aunque los detalles del incidente son escasos, la atrocidad parece ser la peor del reciente conflicto liderado por el M23 en el este de la República Democrática del Congo (RDC). Sin embargo, las fuerzas de paz de la ONU no han podido visitar la prisión para investigar más a fondo debido a las restricciones impuestas por los rebeldes del M23, lo que significa que la identidad de los autores sigue sin estar clara.

El martes se supo que unos 2.000 cadáveres seguían a la espera de ser enterrados en Goma después de que los combatientes del M23 tomaran la ciudad, capital de la provincia de Kivu Norte, el 27 de enero.

Van de Perre, que ahora se encuentra en Goma con miles de tropas de mantenimiento de la paz de la ONU desplegadas para proteger a los ciudadanos, declaró: “Hubo una gran fuga de 4.000 presos. También había unos cientos de mujeres en esa prisión”.

“Las violaron a todas y luego prendieron fuego al ala de mujeres. Después murieron todas”, añadió.

Esta semana, la Oficina del Alto Comisionado de las Naciones Unidas para los Derechos Humanos (ACNUDH) advirtió de que los grupos armados rivales estaban utilizando la violencia sexual como arma de guerra en Goma.

La ciudad, donde viven más de un millón de personas, está bajo el control total de las fuerzas del M23. Pero en un acontecimiento imprevisto a última hora del lunes, la milicia anunció un “alto el fuego” unilateral.

Hasta entonces, se temía que Ruanda estuviera decidida a arrebatar más territorio a su vasto vecino, ya que las fuerzas del M23 se dirigían constantemente hacia el sur, en dirección a Bukavu, capital de la provincia de Kivu del Sur, a 190 kilómetros de Goma.

La coalición político-militar Alianza del Río Congo, de la que forma parte el M23, anunció en un comunicado que “no tiene intención de tomar el control de Bukavu ni de otras localidades”.

En respuesta a la noticia del inesperado alto el fuego. Van de Perre declaró: “Espero que siga así, porque ellos [el M23] ya se estaban moviendo en dirección a Bukavu con refuerzos y armamento pesado, que se puede ver pasar [por] las calles de Goma.

“Si se retiran, es una buena noticia. De lo contrario, tendremos un nuevo enfrentamiento con la posibilidad de miles de muertos más”.

Dijo que el M23 podría haber recapacitado repentinamente tras la llegada de refuerzos de Burundi a Bukavu y la utilización de un aeropuerto cercano por parte de la fuerza aérea congoleña.

“Los burundeses han enviado 2.000 soldados más a Bukavu y son muy buenos combatientes. Creo que el M23 se está replanteando sus próximos pasos”, explica la jefa adjunta de la misión de la ONU.

A pesar de las pruebas, Ruanda niega estar respaldando al M23 o que sus fuerzas hayan cruzado al este de R.D. Congo.

Sin embargo, Van de Perre, que forma parte de la fuerza de mantenimiento de la paz de la ONU conocida como Monusco, afirmó que sus colegas habían visto a soldados ruandeses durante las patrullas, un comportamiento tan descarado que sugiere que no les preocupan las repercusiones internacionales.

Van de Perre instó al Consejo de Seguridad de la ONU a aumentar la presión sobre Ruanda. “Realmente necesitamos volver a la mesa de negociaciones. Y eso sólo es posible si los miembros del Consejo de Seguridad y otros países importantes ejercen suficiente presión sobre Ruanda y R.D. Congo”, afirmó.

Anteriormente, otro alto funcionario de la ONU había especulado con que el vecino de la RDC quería anexionarse un trozo de RDC mayor que la propia Ruanda. “Se trata de una política a largo plazo para conseguir que la zona más amplia de Kivu pase a la esfera de influencia ruandesa y, más adelante, quede bajo control administrativo total”, afirmaron.

Antes de que se anunciara el alto el fuego a última hora del lunes, Van de Perre dijo que estaba preocupada por los informes de que los grupos se estaban preparando para un contraataque. “Ya tenemos noticias de que en algunos lugares la gente se está reuniendo y organizando”, declaró.

Van de Perre afirmó que mantiene un “diálogo constante” con los oficiales del M23 a cargo de Goma y que las condiciones humanitarias en la ciudad eran terribles. 

Dijo que era difícil cruzar la ciudad. “Ellos [el M23] nos permiten llevar comida y agua a nuestras bases, pero aparte de eso apenas podemos movernos”. 

 

 

Un estudio de nanoplásticos en cerebros humanos detecta un aumento pronunciado en ocho años

 FUENTE: https://www.elsaltodiario.com/plastico/nanoplasticos-cerebros-aumento-ocho-anos

El análisis de 52 córtex frontales publicado en ‘Nature’ apunta a que la acumulación exponencial de plásticos en el ambiente estaría incrementando su abundancia en nuestros organismos.

Investigadores de la Universidad de Nuevo México (UNM) y la Universidad del Estado de Oklahoma (OSU) han analizado la presencia de microplásticos y nanoplásticos en muestras de riñón, hígado y córtex frontal de 52 cadáveres humanos, 28 de ellos fallecidos en 2016 y 24 entre octubre de 2023 y enero de 2024. Los resultados, publicados en Nature, arrojan un incremento entre 2016 y 2024 en la concentración en peso para todos los tejidos, y unos valores acusadamente más elevados en el cerebro que en los riñones y el hígado. A partir de la observación de estas partículas a microscopio los investigadores señalan que la gran mayoría de ellas son nanoplásticos, es decir, tienen un grosor inferior a una micra (µm).

En promedio, las concentraciones detectadas en 2016, expresadas en microgramos de microplásticos y nanoplásticos por gramo de tejido, fueron de 141,9 µg/g en hígado, 538,1 µg/g en riñón y 3.420 µg/g en cerebro, frente a 465,3 µg/g, 666,3 µg/g y 4.763 µg/g, respectivamente, ocho años después. Esto supone, en el caso del cerebro, un aumento del 40%.

Por otro lado, se hallaron concentraciones de entre 12.806 y 47.730 µg/g en el cerebro de 12 personas que padecían distintas formas de demencia, es decir, una orden de magnitud más elevadas. Los científicos lo achacan a deficiencias en los mecanismos de depuración asociadas a la demencia, por lo que no indicaría que los plásticos causen enfermedades, pero sí hace a estas personas más vulnerables a los posibles efectos neurológicos perjudiciales que puedan provocar estas partículas. 

        El ser humano consume accidentalmente unos 4 µg por semana de microplásticos y nanoplásticos

 No se apreció, sin embargo, que la concentración se incrementase con la edad, lo que sugiere que existen mecanismos de eliminación que evitan la bioacumulación a lo largo de la vida del individuo, algo que es consistente, argumentan los investigadores, con otro estudio en el que la presencia de nanoplásticos en peces cebra aumentaba con la exposición ambiental hasta alcanzar un valor estable, proporcional a la concentración en el medio, y se disipaba después de la exposición.

Si bien es cierto que el tamaño de muestra es limitado y los datos de 2016 son muy dispersos —año en el que se detecta el mayor dato individual de concentración en cerebro—, el análisis estadístico, de acuerdo con la publicación, permite concluir una tendencia al alza significativa en la presencia de estas partículas plásticas en el córtex frontal e hígado en los casos analizados y apunta a un fenómeno global debido a la acumulación de plásticos en el medio ambiente.

De la fábrica a la célula: más del 25% del plástico se ha producido en los últimos nueve años

La liberación de plásticos al planeta está alcanzando un ritmo vertiginoso en las últimas décadas y no hace más que agrandarse. Propiedades como su estabilidad en el tiempo, versatilidad y bajo costo han hecho de estos materiales un candidato ideal y de difícil sustitución para la producción a gran escala y los ha convertido en un elemento representativo de las sociedades de consumo. Si en 1950 se estima que se sintetizaron 1,5 millones de toneladas de plástico en el mundo, en el 2002 fueron 200 y actualmente se han superado los 400 anuales, de acuerdo con Plastics Europe.

El problema es que estos materiales, cuya producción comienza fundamentalmente en la segunda mitad del siglo XX, tardan siglos en degradarse por completo, por lo que prácticamente la totalidad del plástico descartado se acumula en el medio ambiente. Diseñamos productos para ser usados diez minutos que pueden durar 500 años en el planeta. Si hasta 2015 se habían producido 8.300 millones de toneladas a lo largo de la historia de la humanidad, de las que 4.900 habían sido liberadas al ambiente y 800 incineradas —lo que resulta más contaminante—, desde entonces esta cifra se ha incrementado en más de 3.000 millones. Apenas se recicla la quinta parte, y la pérdida de propiedades mecánicas en el proceso obstaculiza generalmente hacerlo más de tres veces.

 
Los microplásticos y nanoplásticos se acumulan en el medio terrestre y, transportados por el viento y los ríos, también en el oceánico, donde se prevé que para 2050 estos materiales superen a los peces en peso. Están presentes en el aire que respiramos, en los alimentos que ingerimos, de procedencia tanto animal como vegetal, y en el agua que bebemos. El ser humano consume accidentalmente unos 4 µg por semana. Un estudio reciente calculó que el agua embotellada contiene unas 240.000 de estas partículas por cada litro. Las que más preocupan son las de menor tamaño, ya que pueden ser absorbidas por el organismo. Es más, se ha probado en cultivos de células epiteliales intestinales que partículas del orden de decenas de nanómetros son absorbidas al interior de las células humanas.

Existen enormes lagunas de conocimiento sobre las consecuencias que pueden acarrear para la salud de los ecosistemas, incluyendo la humana. Aparentemente, los niveles de contaminación actuales son insuficientes como para producir efectos apreciables en el ser humano, pero la investigación se encuentra en un estado muy incipiente. Todavía se están desarrollando instrumentos y métodos que permitan detectar y medir con precisión los nanoplásticos y microplásticos de menor tamaño, que hasta ahora pasaban inadvertidos. Es una incógnita la abundancia en número de partículas de nanoplásticos en el ambiente, las rutas que siguen en el interior del organismo y en los ecosistemas, hasta qué punto se bioacumulan en los vertebrados o se eliminan, o hasta qué punto puede existir biomagnificación a lo largo de la cadena trófica.

Algunas de las dificultades a las que se enfrentan los científicos son el estudio de las consecuencias de la exposición crónica, el diseño de grupos de control sin presencia de estas partículas que permitan establecer comparaciones con los niveles ambientales o la diversidad de tamaños, formas, composiciones y aditivos químicos de los microplásticos y nanoplásticos, lo que implica dosis tolerables para los organismos potencialmente diferentes en cada caso. Hasta la fecha, la mayoría de repercusiones para la salud se han sugerido o demostrado en estudios de laboratorio en concentraciones que no se espera alcanzar en el medio ambiente. 

Se postula que en el ser humano estas partículas pueden obstruir glándulas, actuar de disruptores hormonales y metabólicos, provocar abrasión e inflamación de tejidos y causar estrés oxidativo y toxicidad inmunológica, neurológica y citológica. Además, al pasar al interior de las células también podrían ocasionar daños en el ADN, por lo que resultarían cancerígenas. La materia orgánica presenta afinidad química por el plástico, y algunos estudios recientes relacionan a los microplásticos con la ateroesclerosis, es decir, la aparición de placas de grasa y colesterol en las arterias, lo que implica un mayor riesgo de sufrir lesiones arteriales y episodios cardiovasculares. En los microorganismos acuáticos, como el fitoplancton y el zooplancton, podrían provocar daños físicos equiparables a los macroplásticos en organismos de mayor tamaño, como el bloqueo del tracto digestivo, desnutrición e interferencia con el nado y la depredación.

Pese a la escasez de evidencia concluyente, lo que genera consenso científico es la urgencia de actuar conforme al principio de precaución ante la magnitud que está alcanzando la acumulación por plásticos en el medio ambiente. Una precaución que, a la vista de la tendencia a continuar incrementando la producción, la economía capitalista no parece dispuesta a adoptar.

La CIA y los intelectuales "progresistas" contra el comunismo: de Orwell y Arendt a Michel Foucault

 Ahora que sale lo de la USAID y su gestión mundial de los cerebros progresistas, vuelta a sus antecedentes en pantalón de pana.

FUENTE: https://canarias-semanal.org/art/32261/la-cia-y-los-intelectuales-progresistas-contra-el-comunismo-de-orwell-y-hannah-arendt-a-foucault-audio

 Partiendo de las investigaciones y estudios de Frances Stonor Saunders Gabriel Rockhill, este podcast, explora las turbias aguas de la Guerra Fría Cultural y cómo la CIA utilizó a intelectuales de renombre, organizaciones de fachada y fundaciones "filantrópicas" para combatir la influencia comunista a través de la cultura.

    Desde la promoción del expresionismo abstracto hasta la financiación de revistas prestigiosas como Encounter, analizamos las estrategias y tácticas empleadas para moldear la opinión pública y contrarrestar el atractivo del marxismo.

      Desvelamos las conexiones secretas entre la agencia de inteligencia estadounidense y figuras como Hannah Arendt y George Orwell, examinamos cómo la teoría crítica francesa, de figuras como Michel Foucault,  fue utilizada como arma en esta batalla ideológica y como la influencia de esta intervención cultural de la CIA llega hasta nuestros días en expresiones como la política de las identidades (....).

 


 Marcas de tiempo: 

Los temas del podcast: 0:54 

Presentación: 1:23 

El frente cultural de la CIA tras la 2ª Guerra Mundial: 2:12 

Las Fundaciones "filantrópicas" como tapaderas de la CIA: 3:00 

La CIA promociona y utiliza "Rebelión en la granja", de George Orwell: 3:35 

Hannah Arendt y "Los orígenes del totalitarismo": 4:02 

Lista de otros intelectuales cooptados por la CIA: 4:24 

El arte abstracto contra el realismo soviético: 5:18 

Las aportaciones de Gabriel Rockhill: 7:17 

La promoción de la CIA de las "políticas de identidad": 7:36 

La CIA y la "Teoría Crítica" francesa: 9:34 

Raymond Aron y Hannah Arendt contra Sartre y Beauvoir: 12:09

 


mercredi 5 février 2025

IA Deepseek, retrato de una Era: Inversión-Especulación en EEUU y Rentismo Feudal en Europa

 Fuente: https://follow.it/la-tarcoteca-contrainfo/temp/MTA1ODY2ODUyMQ==

por Pablo Heraklio Feb 2, 2025

El 24 de enero China presenta su Inteligencia Artificial (IA) Deepsheek, desarrollada empleando un 95% menos de los recursos, tanto monetarios como energéticos, que lo que cuesta su desarrollo en EEUU.  En un solo día quedó definido el carácter de las distintas élites planetarias. Una gran foto de familia.

Los economistas no se lo creen; no se creen sus propias explicaciones:
-Algunos piensan que el algoritmo ha sido copiado de alguna IA estadounidense. 
-Otros creen que el desarrollo ha sido oneroso porque el dinero para la inversión ha surgido del capital riesgo.
-Otros creen que el estado debería haberse implicado más. 
-Otros que el estado no deberían haberse inmiscuido, teniendo las empresas desarrolladoras, las Big-tech, demasiadas regulaciones legales que impiden su desarrollo. 
... no tienen ni puta idea.

USA: Inversión es Especulación

Según la doctrina neiliberal, que sostiene en escuelas como Harvard, Yale o Bussines School of London, Chicago... "el beneficio mueve a la inversión". No es la inversión la que genera el beneficio. Si no hay beneficio no hay inversión. El neoliberalismo es una doctrina creada ad hoc, a científica, para justificar el gran sistema de robo mundial generado por el oportunismo anglosajón.

Apliquemos el principio al desarrollo de IAs en occidente: Los chicos de Wall Street han calculado los beneficios de la IA, han visto un filón inagotable y el futuro de la humanidad. Han invertido al máximo en esta nueva tecnología. Esto incluye mover todos los resortes posible para obtener todo tipo de esteroides económicos y facilitaciones por parte de los gobiernos, en forma de subsidios, exenciones y estímulos. Inversiones colosales para estimular sectores. La última, el proyecto Stargate promovido por el gobierno de los EEUU con 500.000 mill $ de presupuesto, presentado el martes 21 de enero. 

"Igual" en China. El 24 de enero China presenta su IA Deepseek realizada con un presupuesto de 5 millones $.

Resultado: El 29 de enero los valores tecnológicos estadounidenses se desplomaban en bolsa, sufriendo una de las mayores descapitalizaciones de su historia. Lo que se entiende por inversión ruinosa.

Cuestión de Doctrina

 
La doctrina financiera estadounidense les hace pensar que dinero es igual a producción, y que el dinero es bienestar. Ya lo hicieron con las puntocom en los 2000 y las hipotecas subprime en 2008, generando en ambos casos una recesión mundial. 

Dinero es dinero y producción es producción. La economía neoliberal entera se enfoca en la producción de dinero por el dinero, y no de bienes materiales. Estos son importados. Pero el dinero es deuda desde que se rompió la paridad oro-dólar y se adoptó la Teoría Monetaria Moderna, por definición. Por eso, al importar productos, lo que se exporta es deuda. Esta exportación de deuda es característica de los imperios, como ya explicó sobradamente el Presidente de la URSS Vladimir Lenin en 1916. Lo dicho para IAs es aplicable a su ejército, como avisamos en 2017, sistema de salud, sistema educativo, a Tesla y Starlink de Musk, Amazon, saturada de producto chino, Google, Apple y tantos otros negocios y parámetros. Todos son apreciados conforme a su objetivo real en su doctrina económica: la consecución de dinero. Paradógicamente, bienes y servicios son meros accesorios; superfluos. Un posible caso de idolatría colectiva. Viven en una burbuja

EEUU podría haber desarrollado ChatGPT, o cualquier otra IA, con lo que vale medio tanque Abrams M1 de 10 mill $. Tienen más de 14.000 en stock. Con un valor similar, España envió 20 tanques Leopard a Ucrania. Con lo que vale uno podríamos haber sido líderes mundiales. Cuestión de preferencias.

La economía China se aferra a la tierra. Se centra en la producción y en los resultado. Te desarrollan una IA funcional con 5 millones de $. Y quien dice una IA dice cualquier cosa. En su doctrina declaradamente marxista, planifican la economía y controlan directamente sectores estratégicos. Permiten la economía de mercado y una "sana" especulación en aquellos ámbitos considerados no estratégicos, por ejemplo entorno al ladrillo o la bolsa. Resultado: 1ª economía mundial.

Rusia evita los movimientos especulativos con un control directo del estado en las empresas, magnates que controlan sectores estratégicos comprometidos con la causa nacional, y unos tipos de interés del 21%. Resultado: 4ª economía mundial.

La triste realidad e Europa: mente de ladrillo

En cambio, en Europa, sus élites financieras y productivas, su entero sistema económico, creían pérdida la carrera de las IAs contra ambas potencias. Arrojaron la toalla antes de la contienda. ¿Hicieron si quiera algún cálculo? Su producto estrella de inversión, aparte de las armas y la OTAN ... la energía, como efecto directo del atentado contra el Nordstream 2. Sin olvidar el ladrillo; infraestructuras le llaman. Europa se arrojó al rentismo rememorando los tiempos del feudalismo. De ahí el aumento de precios de casas y alquileres, del precio relativo de bienes y servicios por disminución de renta disponible, aumento de la edad de emancipación y consiguiente disminución de la natalidad, disminución del consumo y aumento de las desigualdades. Su doctrina es aquella marcada por EEUU, al fungir de serviles lacayos, puerilmente llamada "complacencia estratégica".

Se puede entender que en EEUU las grandes compañías se aprovechen del desarrollo especulativo de las IAs y tantos otros sectores. La fiesta seguirá hasta que dejen de funcionar las cañoneras

Pero no se entiende la obtusa perspectiva en Europa, que ha hecho que una miserable obra de 5 millones de € ni si quiera haya tenido inicio. Esa es la verdadera forma de pensar de nuestras élites europeas: asegurar el beneficio, aunque sea exiguo, mantener la inversión, garantizar el retorno aunque sea pingüe. Parasitismo de siempre. Ya avisamos que, sin corrección, el único resultado posible para Europa es su empobrecimiento. Desde 1945 las élites europeas son, por elección, selección y preferencia, estadounidenses. La ejercen estadounidenses putativos nacidos en países extranjeros. Hasta el orgulloso Reino Unido, otrora imperio, cayó en su trampa.

Esta situación retrata una época y marca el devenir de un futuro que ya está aquí. Que cada una saque sus conclusiones y cada una entienda con quién está tratando y cómo tratarlo. A pesar de todo el fascismo que despliegan, exhibiciones de fuerza, del despliegue de genocidios y muerte, nuestras élites, en siglos, no habían sido tan débiles. Parece un contrasentido, pero el colonialismo decae en la misma forma que avanza el imperialismo globalista. Europa, para suerte de las excolonias, pasa a la irrelevancia. La principal ocupación de los rentistas es la expropiación; exprópiales tú. Quien pueda golpear que golpee, es el momento.

Salud! PHkl/tctca
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